Les mystérieuses chutes de pierre comptent parmi les phénomènes les plus spectaculaires que certaines personnes ont pu vivre au col de Vence (à l’altitude de 1000 m au-dessus de la ville de Nice). Quelques anecdotes très significatives ont été publiées dans les livres « Les mystères du col de Vence »(1) et « Les invisibles du col de Vence »(2). Elles ont été analysées dans le livre « Ovnis, crop circles et MIDIM »(3), d’où cet article a été extrait.

Témoignage :  

« Par une journée d’été, Patrick et Pierre reviennent à pied d’une visite au village de Saint Barnabé, au col de Vence. En cheminant sur la route, ils évoquent la question des chutes de pierre. A hauteur du parking, Patrick se retourne « machinalement » pour voir, stupéfait, un gros caillou décoller du bord de la chaussée. La pierre décrit une parabole l’amenant à passer par-dessus la tête des deux amis pour s’écraser quelques mètres devant eux sur la route. Sous la violence du choc, le caillou se brise en trois morceaux. C’est une des rares manifestations de ce genre à avoir pu être observée de bout en bout en plein jour sous les yeux ébahis des témoins »(1).

         Plusieurs fois, ces amis de l’association Col de Vence, habitués de ce lieu, s’étaient sentis agressés avec des pierres qui tombaient autour d’eux (sans qu’ils soient touchés), alors qu’ils marchaient de nuit sur une route tranquille. Précisons qu’il n’y avait aucune falaise proche qui puisse expliquer ces chutes de pierre. Dans ces cas-là, ils se rendaient compte que les projectiles ne suivaient pas des trajectoires courbes comme si elles avaient été lancées par une personne à proximité, mais tombaient verticalement ! D’ailleurs, ils constataient que ces pierres ne roulaient quasiment pas au sol après l’impact. Leur origine se perdait à faible hauteur dans la nuit et ne pouvait pas être discernée. Les cailloux étaient de dimensions différentes, allant du gravillon à la grosseur d’un poing, et pouvaient atteindre parfois la masse de plusieurs kilogrammes.

Il est important de remarquer que ce phénomène survenait dans un certain contexte : « l’état d’esprit qui habite les personnes concernées n’est manifestement pas étranger à ces phénomènes. » « Nous avons eu à de très nombreuses reprises la conviction que ces chutes de pierres survenaient très à propos, faisant écho à une question ou une assertion formulée à haute voix, voire même à une pensée fugace »(1).

Analyse :

1- Une entité invisible révèle sa présence : Une première réflexion nous porte à dire que ces chutes de pierres, et en particulier ce jet de pierre observé en plein jour, « ne devraient pas exister » puisqu’aucune cause visible, matérielle, ne peut les expliquer. Mais si l’on accepte l’authenticité du témoignage et la réalité des faits et si, en outre, on considère le principe que tout évènement a une cause, cet évènement implique que sa cause appartient au monde invisible. Ce raisonnement s’oppose évidemment aux connaissances de la science mais celle-ci est impuissante à apporter une explication.

D’autre part, la trajectoire de la pierre – qui est passée juste au-dessus des amis sans les toucher – révèle que cette cause était consciente de la présence des deux amis et s’est manifestée de façon intelligente, pour les interpeller. La conclusion logique (et rationnelle) est qu’une entité intelligente et invisible a révélé sa présence, en impressionnant les deux amis sans les blesser. En appliquant une force parfaitement contrôlée à la pierre, cette entité a montré qu’elle a la capacité de manipuler la matière.

2-  Influence mentale :  La parfaite synchronicité entre le moment où Patrick s’est retourné et l’instant où la pierre a quitté le sol ne peut pas être due au hasard. Elle montre soit que Patrick a eu une intuition remarquable ou, ce qui revient au même, que son cerveau a reçu la pensée lui proposant de se retourner, cette pensée ayant été émise par une autre intelligence, celle de l’entité invisible à l’origine de cet évènement. Il y a donc eu nécessairement une influence mentale, perçue inconsciemment par Patrick, qui lui a permis de suivre de bout en bout le déplacement de la pierre.

3- Une entité invisible qui nous voit :  Une autre conséquence logique de cet évènement est que la parfaite synchronicité entre le moment où Patrick s’est retourné et le moment où l’entité a lancé la pierre implique que cette entité (invisible) voyait les deux amis. Cela signifie que l’entité – et de façon générale ces entités du monde invisible – voient parfaitement le monde matériel dans lequel évoluent les hommes … alors que l’inverse n’est pas vrai.

4-  Une action à portée démonstrative :  Dans ce phénomène mystérieux des chutes de pierres, la question se pose de savoir si ces pierres étaient prélevées dans l’environnement naturel, sur le sol, ou étaient matérialisées pour la circonstance. Dans le cas présent, nous avons une réponse claire : la pierre existait déjà, elle a été prélevée au sol et a été lancée par l’entité pour attirer l’attention et impressionner les deux personnes présentes. Le fait qu’elle se soit brisée au sol confirme que c’était une « vraie » pierre, que les personnes ont pu examiner ensuite.

Cette expérience a une très grande valeur pédagogique, d’autant plus qu’elle s’est passée en plein jour, ce qui est plutôt rare, de façon que les personnes puissent être des témoins visuels de bout en bout de l’action. Cela rend compte d’une relation particulière entre l’entité invisible et les personnes présentes, une relation empreinte de respect et de bienveillance de la part de l’entité qui a pris l’initiative de cette expérience, mais aussi d’une volonté pédagogique pour nous amener à comprendre les processus à l’œuvre.

5- Une signature des esprits de la nature: Quelles sont les caractéristiques de l’entité qui s’est manifestée là :

● elle est présente dans un monde invisible, elle a donc une nature subtile et appartient à une autre dimension, mais elle est capable de nous voir ;

● elle est intelligente ;

● elle a la capacité d’agir sur la matière, c’est-à-dire d’intervenir dans le monde matériel des hommes ;

Ces caractéristiques sont celles que les traditions et la science spirituelle prêtent aux esprits de la nature, aux élémentaux. On a en fait dans cette anecdote comme une signature de ces esprits de la nature. On peut préciser que, dans ce cas précis, cet élémental est respectueux des hommes et semble être animé d’une volonté pédagogique, alors que les êtres de la nature ont la réputation d’être souvent espiègles..

Cette anecdote, si l’on accepte son authenticité, est une preuve concrète de l’existence des esprits de la nature. Elle impose d’abandonner la vision matérialiste du monde, trop limitée pour rendre compte de certaines observations, pour une vision spirituelle, dans laquelle des êtres qui vivent dans des plans parallèles et nous sont invisibles, peuvent se manifester à nous.

Cet article peut être rapproché de celui intitulé « Le reflet impossible » (catégorie MIDIM) de février 2018, qui rend compte d’une autre observation étonnante faite au col de Vence.

(1)  Pierre BEAKE et l’association Col de Vence.com – Les mystères du col de Vence  (Ed. Le temps présent)

(2)  I.C.D.V. – Les invisibles du col de Vence (Ed. Nérusi)

(3)  Daniel HARRAN – Ovnis, crop circles et MIDIM (Ed. EccE)