Dans la quasi-totalité des cas, les ovnis se comportent comme des observateurs qui surveillent les activités des hommes, sans intervenir matériellement. De très nombreux exemples existent autour des installations nucléaires en particulier. Quelques rares exceptions sont connues cependant : par exemple les désactivations de missiles nucléaires aux États-Unis dans les années 1966-1967, ainsi que l’intervention dans le réacteur nucléaire n° 4 de Tchernobyl en Ukraine, lors de la catastrophe de 1986, qui a eu pour effet de diminuer le taux de radioactivité. (1, 2)
Une intervention matérielle tout à fait exceptionnelle a été signalée dans le livre paru récemment en français « Oanis en Russie » (3). L’acronyme Oani signifie « objets aquatiques non identifiés ». Voici le rapport, extrait de ce livre.
Le rapport
Un incident non daté fut décrit dans une lettre qui parut dans le numéro 12 du magazine NLO en 1997. L’auteur, Nikolaï Sadkov, de la ville russe Pskov, y décrivit un épisode qui se rapportait à son service dans la Flotte de la mer Noire. Il avait servi à bord d’un navire de la marine affecté à la récupération de torpilles soviétiques non explosées lors d’essais en mer. Ces torpilles pouvaient rester à flot jusqu’à quarante-huit heures avant de couler.
Lors d’une de ces missions, l’équipage dut récupérer une torpille secrète de type Dolphin. Un représentant du Département Spécial (les services secrets de la marine soviétique) était avec eux pendant que l’équipage recherchait la torpille. Ils localisèrent la position de la torpille environ deux heures plus tard. Une heure après, ils commençaient à s’approcher de la torpille en vue de la récupérer conformément aux ordres.
Sous les nuages, apparut alors un vaisseau en forme de cloche, en suspension au-dessus de la torpille. Le diamètre de l’ovni était de quinze à vingt mètres. Il descendit très lentement à l’altitude de cinq mètres au-dessus de la torpille. Une voix qui émanait de quelque part dans le ciel, dit dans un russe très intelligible, qu’aucun mal ne leur serait fait, et que chacun devait rester là où il était. Une plate-forme circulaire s’étira depuis la base inférieure du vaisseau et attira la torpille vers elle comme un aimant. Le technicien du sonar du bateau sortit avec un appareil photo dans les mains, impatient de prendre des photos. Un mince rayon de lumière rouge vif jaillit du vaisseau et toucha la tête du technicien. Il tomba simplement sur place. L’ovni saisit la torpille et s’envola à grande vitesse.
Deux heures plus tard, il réapparut et se mit en position stationnaire au-dessus du pont du bateau de récupération. La torpille fut lentement descendue depuis la partie inférieure du vaisseau et déposée sur le pont du navire. Après quoi, le vaisseau disparut. Lorsque les marins furent rentrés à la base, ils signèrent un engagement de confidentialité auprès du Département Spécial, au terme duquel ils ne révèleraient l’incident à personne.
Analyse
● Selon le témoignage de ce marin, cette observation exceptionnelle se rapportait à l’expérimentation d’une torpille « secrète », d’un type nouveau probablement, ce qui peut justifier la curiosité de l’ovni, son désir de l’examiner et de l’analyser attentivement. Etait-elle destinée à être utilisée avec l’arsenal nucléaire ? Nous ne le savons pas.
● Une voix s’est adressée à tout l’équipage, « qui émanait de quelque part dans le ciel ». Il y a donc eu communication directe entre un ovni et des hommes, dans un seul sens il est vrai. Cette observation est unique, du moins c’est la seule de ce type qui soit connue. Cette voix s’est exprimée dans un russe très intelligible (cela se passait en Russie). Cette remarque permet de personnaliser le vaisseau, c’est bien un être intelligent qui est associé à ce vaisseau, doué de la capacité de s’exprimer par la voix pour s’adresser aux hommes.
C’est toujours ainsi qu’il faudrait considérer les ovnis. Leurs comportements montrent bien qu’ils sont toujours animés par des êtres intelligents, qui sont habituellement présents dans un monde parallèle et sont donc invisibles. Pour se manifester devant des hommes et pour intervenir, ils sont amenés à se matérialiser et se rendre visibles.
● Cette communication n’a pas été télépathique mais bien sonore et dans la langue du pays, afin que tout l’équipage puisse l’entendre. Les paroles exprimées ont montré qu’il n’y avait pas d’intention belliqueuse mais elles émettaient un ordre ferme.
● Enfin, nous avons vu la marque de respect du libre-arbitre des hommes, concrétisé par le fait que la torpille a été rendue aux militaires, en y mettant même la manière puisqu’elle a été déposée sur le pont du navire.
● Ce type de témoignage se démarque des phénomènes d’enlèvements d’êtres humains dans des ovnis, qui sont le plus souvent des actes malveillants, qui portent atteinte à l’intégrité physique des personnes enlevées et sont la cause de graves traumatismes.
Ici, au contraire, ce témoignage, qui s’ajoute à bien d’autres, dans le domaine nucléaire en particulier, montre que les êtres humains sont sous surveillance constante par des intelligences non-humaines, discrètes (les êtres intelligents présents dans l’ovni ne se sont pas montrés) mais qui sont bienveillantes (ils ont pris la précaution de prévenir qu’aucun mal ne serait fait, et la torpille a été rendue aux hommes, après examen).
● Nous avons remarqué que l’ovni, ou plutôt l’être intelligent associé à cet ovni, n’a pas autorisé le technicien du sonar à prendre des photos. Il est intervenu physiquement en envoyant sur lui un rayon lumineux qui l’a simplement immobilisé au sol, sans le blesser. Nous voyons là une volonté de discrétion. La scène qui s’est déroulée ce jour-là est tout à fait exceptionnelle. Elle a pu être partagée et publiée, grâce au courage d’une personne témoin qui a outrepassé son engagement de confidentialité. Des photographies auraient pu avoir un impact encore plus grand sur les hommes mais les occupants des ovnis ne l’ont pas permis, probablement parce que les hommes, dans leur ensemble, ne sont pas prêts à ce que la communication se généralise.
Commentaire
● Ce témoignage est donc le seul cas connu où il y a eu communication directe entre un ovni et des hommes, avant une intervention matérielle. Mais cette exception ne remet pas en cause la règle générale, quasiment absolue : les occupants des ovnis évitent toujours de communiquer avec les hommes.
Les témoignages de présences d’êtres non-humains bienveillants, sans qu’il y ait communication, sont nombreux. Ces présences constantes et bienveillantes, bien que discrètes, montrent qu’il existe nécessairement un lien entre ces êtres et les êtres humains, un lien qui reste à découvrir. Dans cette période troublée où les hommes sont sous l’emprise de forces de manipulation et de destruction, nous pouvons nous souvenir que d’autres êtres, bienveillants, sont présents dans des mondes parallèles, et sont liés à l’humanité.
Références :
(1) Daniel Harran – Les ovnis et le nucléaire – le choc d’une réalité ignorée (Ed. Le Temps présent)
(2) Didier Gomez et Stéphane Royer – Ovnis et nucléaire – Sommes-nous sous surveillance ? (Ed. JMG)
(3) Paul Stonehill et Philip Mantle – Oanis en Russie (Ed. Flying Disk France)
Bonjour,
Très intéressant votre article sur ce cas, il est vrai, assez exceptionnel.
Connaissez-vous l’éditeur de OVNIS en Russie qui est aussi traducteur, Jean Librero ?.
Je me demandais s’il n’existait pas d’autres cas de ce genre qui n’ont et pour cause, jamais été révélé ?.
Je vous signale, pour votre information, les travaux de grand intérêt de Marina Popovich qui, malheureusement, n’ont jamais été traduit en français.
Vous trouverez cependant sur internet, certains interviews de cette femme tout à fait exceptionnelle des plus intéressants qui montrent notamment que la Russie n’a rien à envier de l’ouest en ces matières et que même elle pourrait encore en apprendre beaucoup.
Bien cordialement et à bientôt pour de nous articles sur votre blog, le dernier étant déjà de plus d’un an !
Yves Barman
Merci de cet article
Extrêmement intéressant
Merci Daniel pour la communication .