Rappel sur les orbes:

Les orbes sont des disques de lumière que l’on découvre parfois sur des photographies, superposés au sujet photographié. Ils sont souvent blancs, parfois colorés et d’autres fois, peuvent montrer une structuration interne. Plusieurs articles de ce blog ont déjà été consacrés à ce phénomène. La nature des orbes a été discutée dans l’article d’avril 2018. Dans les cas les plus courants, ils sont créés par le processus de diffraction optique quand la lumière tombe sur des particules matérielles en suspension dans l’air (s’il y a des poussières) ou sur des « particules immatérielles et énergétiques » (dans le cas contraire). Dans ce cas, nous avons proposé l’idée que ces « particules énergétiques » révèlent la présence d’entités invisibles, le plus vent des êtres élémentaux (qui sont dans un plan parallèle) quand la scène se passe dans la nature.

  • Souvent, c’est la lumière d’un flash qui a provoqué cette diffraction optique (comme dans la photo ci-dessus) ;
  • mais les orbes sont parfois obtenus même en lumière naturelle quand l’incidence et l’intensité sont convenables (voir l’article de mai 2018) ;
  • on peut aussi en observer en l’absence de lumière (de nuit), ce qui montre qu’il y a alors eu une émission de lumière par ces entités (cas de l’article d’août 2018). Parfois, ce sont des formes lumineuses étranges que l’on peut découvrir sur certaines photographies (article de novembre 2018).

Dans le présent article, nous allons nous intéresser à des observations de formes lumineuses plus ou moins complexes découvertes sur des photographies dont certaines ont été prises à l’aide d’un flash, et d’autres sans flash. Elles ont des formes diverses et suggestives comme sur la photo ci-dessus ou sur celle-ci-dessous.

Rappelons encore que ces formes sont apparues sur les photos, alors que le photographe n’avait rien vu. Elles évoquent le mouvement d’un « objet volant non identifié … » de petite dimension qui fait penser à une espèce de papillon ou plutôt … d’une fée puisque cet objet n’est pas matériel.

D’autres observations ont été rassemblées dans le montage photographique ci-dessous. Une caméra de surveillance sensible au rayonnement infrarouge a enregistré une photo toutes les quatre minutes (sans flash). Le montage regroupe un certain nombre de photos où l’on peut voir des points lumineux et diverses formes lumineuses émises par une ou des entités qui ne sont pas des objets matériels.

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Analyse :

Les observations remarquables sur le montage photographique sont des espèces de « cylindres lumineux » de dimensions diverses, dont deux semblent fixes à droite et à gauche de l’image, ainsi que les formes massives apparues temporairement. Ces formes lumineuses qui se déplacent, comme celles des deux photos précédentes, ne peuvent pas correspondre à des objets matériels. Ce sont apparemment des objets immatériels qui ont émis un rayonnement infrarouge (capté par la caméra pour le montage photo) ou ont réfléchi la lumière du flash (pour les deux premières photos).

Les questions qui se posent :

  • ces objets immatériels ont-ils réellement les formes qui apparaissent sur les photos ?
  • et bien sûr, quelle est la nature de ces objets ? Les formes compactes du montage évoqueraient alors des objets très massifs ! ce qui ne laisse pas d’intriguer.

Mais si l’on observe attentivement ces formes, on peut constater qu’elles semblent toutes formées d’un assemblage de disques identiques qui se chevauchent, certains plus denses et d’autres plus subtils. Cette remarque porte à penser que ces formes lumineuses pourraient résulter du déplacement d’un disque blanc (unique) pendant la durée des prises de vue. Ce disque blanc serait alors un orbe, ce qui révèlerait la présence d’un être élémental, mais cet orbe (cet élémental) se déplacerait à grande vitesse pendant la durée de l’exposition.

A l’appui de cette interprétation, nous pouvons remarquer que, dans le cas de la caméra de surveillance nocturne, la vitesse de déclenchement de l’obturateur est de 0,6 seconde, ce qui est une durée très longue comparativement à ce qui se passe pour un appareil photo classique (1/125ème d’exposition). Cette durée longue peut expliquer que l’orbe ait éventuellement le temps de se déplacer davantage pendant la prise de vue, ce qui donne ainsi l’illusion d’un objet massif.

La même remarque, et la même interprétation peut être faite sur les formes lumineuses rapportées dans les articles précédents (mai, août et novembre 2018).

En conclusion, il semble donc que ces formes lumineuses étranges puissent être attribuées à des élémentaux qui se déplacent pendant la durée des prises de vue, ce qui donne l’illusion de formes compactes et massives ou de formes aériennes et ailées, selon les temps d’obturation des appareils.

Enfin, il est intéressant de pouvoir confirmer, grâce aux images du montage photo, que ces élémentaux émettent une énergie, sous forme de rayonnement infrarouge, ce qui permet de détecter leur présence avec des capteurs adaptés. Ce sont bien des particules énergétiques. La science spirituelle enseigne qu’elles sont présentes dans un plan parallèle appelé plan élémentaire, qui est intermédiaire entre le plan éthérique et le plan matériel.