Les chemtrails (contraction de trainées chimiques en anglais) ont commencé à apparaitre dans le ciel des pays occidentaux dans les années 1990 et peuvent être très souvent observées de nos jours. On repère facilement ces trainées blanches et larges qui persistent longtemps dans le sillage des avions. Elles se distinguent aisément des trainées de condensation (contrails) qui, elles, sont plus étroites, plus courtes et éphémères. Celles-ci sont créées naturellement par le processus de combustion à l’arrière des réacteurs, la vapeur d’eau émise se condensant immédiatement en raison des températures négatives qui règnent aux altitudes où évoluent les avions. Alors que ces trainées de condensation sont fines, parfois même invisibles, et disparaissent en quelques secondes ou quelques dizaines de secondes au maximum, selon le degré d’hygrométrie de l’air, les chemtrails, par contre, s’élargissent, se déforment et persistent longuement dans le ciel, pendant plusieurs heures. Les aînés parmi nous peuvent se souvenir que ces longues trainées persistantes n’existaient pas du tout avant les années 1990.

Comparaison entre une trainée chimique et deux trainées de condensation

La différence entre ces deux types de trainées est illustrée de façon flagrante sur la photographie ci-dessus : il y a bien deux phénomènes différents. Pourtant, les communiqués officiels diffusés par les compagnies aériennes et les pouvoirs publics, quand ils sont questionnés à ce sujet, nient la réalité des chemtrails et les assimilent aux trainées de condensation. Situation étrange !

Preuves photographiques de la réalité des chemtrails

Des avions qui font demi-tour !

1) Mais si toutes les trainées d’avion étaient des trainées de condensation, comment expliquer alors que parfois, des avions – soi-disant des avions de ligne – fassent demi-tour, comme le montre l’exemple de la photo ci-dessus, qui est loin d’être rare ? Est-il nécessaire de préciser que ces observations n’ont rien à voir avec les avions en attente d’autorisation d’atterrir, qui font des circuits aux abords des aérodromes. D’une part parce que ces trainées sont observées loin des aéroports, d’autre part parce qu’elles sont situées nettement plus haut en altitude que les avions en attente d’atterrissage. Ces trajectoires sont la preuve que ces avions ne sont pas des avions de ligne. La seule explication rationnelle est qu’ils répandent méthodiquement des produits dans l’atmosphère au-dessus des agglomérations, pour une raison encore inconnue.

2) D’autre part, comment expliquer que des avions se permettent d’évoluer dans tous les sens et former des quadrillages, alors que la réglementation aérienne pour les avions civils impose de respecter les couloirs aériens et d’évoluer dans une seule direction, pour une altitude donnée ? (voir l’exemple de la photo en-tête de cet article qui, encore une fois, peut être très souvent observé).

En réalité, l’altitude estimée de ces avions indique que ceux-ci évoluent souvent en dessous des couloirs aériens civils (entre 2000 m et 8000 m), et que ce ne sont donc pas des avions de ligne. D’ailleurs, le simple fait de compter le nombre d’avions en vol à un moment donné révèle que ce nombre est complètement disproportionné par rapport à celui des avions civils déclarés, comme le fait remarquer l’association ACSEIPICA (Association citoyenne pour le suivi, l’étude et l’information sur les programmes d’interventions climatiques et atmosphériques). C’est depuis 2002 que la circulation aérienne à moyenne altitude (au-dessous de 8000 mètres) s’est multipliée. Les cieux se sont vus défigurés par ce nouveau type de trainées d’avions, et de nouvelles sortes de nuages, inconnues auparavant, sont apparues, qui finissent par voiler un ciel originairement bleu.

Une trainée interrompue … et qui reprend momentanément !

3) Et comment expliquer encore qu’une trainée – soi-disant trainée de condensation – puisse s’arrêter brutalement, puis reprendre quelques instants plus tard et un peu plus loin momentanément, comme sur la photo ci-dessus ? Cette interruption ne peut pas s’expliquer par un changement brutal et local d’hygrométrie (qui est impossible), et ne peut pas s’expliquer non plus par une avarie de moteur de l’avion, car celui-ci a poursuivi sa route imperturbablement. On a là une nouvelle preuve que cette trainée a été produite par un épandage de produits chimiques. On peut imaginer que cette interruption soit apparue quand le fût s’est trouvé vide, et qu’un surplus de pression ait permis d’envoyer les derniers résidus.

La même observation peut être faite sur la photo ci-dessus indiquant des demi-tours effectués par un ou plusieurs avions. On voit que l’une des traces est interrompue, apparemment définitivement.

Dépôts observés après observation d’un chemtrail

4) A l’analyse de ces trainées d’avions s’ajoutent les très nombreuses observations de dépôts au sol de substances tombées du ciel, au-dessous de ces trainées. On peut imaginer que ces dépôts se forment quand les produits chimiques ont été répandus en trop grande concentration.  Des analyses ont été réalisées, qui révèlent la présence dans ces dépôts d’une grande diversité de produits, avec une majorité de particules métalliques. Les constituants le plus souvent cités sont des nanoparticules d’oxyde d’aluminium, de sels de baryum, du strontium.

La seule explication rationnelle des chemtrails : des épandages de produits chimiques

La seule explication rationnelle de ces trainées est qu’elles sont créées par des épandages aériens. Des produits chimiques sont volontairement pulvérisés par ces avions par un procédé qui provoque des trainées blanches qui font penser aux trainées de condensation, mais ne sont pas des trainées de condensation.

Les deux questions essentielles qui se posent alors sont :

  • qui sont les véritables instigateurs de ces pulvérisations ?
  • Et quel en est le véritable but ?

Avons-nous les moyens de répondre ces questions ? A suivre.