Le Triangle des Bermudes tient une bonne place parmi les phénomènes les plus mystérieux auxquels les hommes sont encore confrontés de nos jours. Il est réputé pour ses nombreuses disparitions de navires et d’avions avec leur équipages, qui se chiffrent par centaines, depuis des siècles. C’est une zone située au large des côtes de la Floride, qui inclut la mer des Sargasses (ce « cimetière des bateaux perdus ») et l’archipel des Bermudes.

Une sinistre réputation est aujourd’hui attachée à cette région du globe en raison de la répétition de ces disparitions inexpliquées car, par définition, les personnes disparues n’ont pas pu rapporter ce qu’elles avaient vécu et les épreuves qu’elles avaient traversées avant de quitter ce monde, alors qu’aucune trace n’a jamais été retrouvée qui puisse expliquer leurs disparitions. Mais certains marins et certains aviateurs ont cependant traversé des épreuves caractéristiques à cette région et ont sont revenus. Ils ont pu alors témoigner et rapporter les phénomènes qui les ont marqués pour la vie. D’autre part, les moyens technologiques de notre époque (les radars en particulier) fournissent quelques bribes d’information à propos de ces disparitions. Ces témoignages permettent aujourd’hui de commencer à comprendre l’enchaînement de ce qui a pu entraîner ces multiples disparitions. Nous verrons que, à partir de là et à partir des connaissances que nous avons acquises sur les êtres élémentaux (consulter si besoin le site  www.ecoutelaterre.fr et les ouvrages de Daniel Harran (3)), nous serons en mesure d’en proposer une interprétation.

Voici par exemple le témoignage d’un vieux marin (1).  » La nuit venait de tomber. Le ciel était étoilé. On entendait le clapotis de l’étrave. Et tout à coup le vent s’est levé, ou plutôt des bourrasques se sont abattues de toutes parts sur le cargo. J’ai vu se former des vagues plus hautes que le navire, des vagues immenses qui ont convergé vers nous. J’ai connu des tempêtes sur toutes les mers du globe, mais celle-ci n’en était pas vraiment une : il s’agissait de l’œuvre du diable. Puis tout d’un coup, comme par miracle, nous émergions sous les étoiles, sur un océan paisible, le cœur et l’esprit serrés. »

Si l’on accepte ce témoignage incroyable – incroyable par la soudaineté avec laquelle la tempête est arrivée et avec laquelle elle a disparu, associée à une très grande intensité sur une très courte durée – on se rend compte qu’il s’agit d’un phénomène météorologique, mais ses caractéristiques montrent qu’il ne semble pas obéir aux lois habituelles. Cette tempête ne semble pas « naturelle », comme l’a d’ailleurs exprimé le marin. Il avait assisté là à un déchaînement des éléments naturels qui, d’après la description qu’il en a fait, paraissait vraiment extra-ordinaire. Observons déjà que le fait que cet événement n’obéisse pas aux lois habituelles de la nature, aux règles habituelles de la météorologie signifie qu’il obéit à d’autres lois qui nous sont inconnues, des lois qui ne relèvent pas de ce monde, comme si l’origine de ce phénomène se situait dans un autre monde !

Analyse:  Pour tenter de trouver une explication à ce type de phénomène, nous pouvons observer que l’air a été soudainement animé par des vents intenses, que des nuages sombres se sont formés et se sont accumulés par des forces apparemment non naturelles, des forces que l’on peut alors qualifier de surnaturelles. Le phénomène consiste en un déchaînement de forces surnaturelles dans les éléments naturels. Or, d’après les connaissances ésotériques ou spirituelles, ce sont des êtres élémentaires (ou élémentaux), qui ont la maîtrise des éléments. Nous pouvons même préciser que la tempête subite est associée à l’élément air. Il semble donc que ce soit des élémentaux liés à l’élément air, qui soient responsables de cet événement puisque ce sont eux qui agissent derrière les vents, les ouragans et qui déplacent les nuages.

Nous savons que les élémentaux sont habituellement présents dans un plan parallèle (le plan éthérique), mais qu’ils ont la capacité de se manifester dans notre plan matériel, de manipuler la matière. Ceci nous permet de dire que le phénomène étudié peut être qualifié de manifestation interdimensionnelle, il représente une nouvelle forme de manifestation interdimensionnelle (MIDIM).

Pour ce qui est des disparitions d’avions, il a été observé aussi que nombre d’entre elles peuvent être imputées à des phénomènes météorologiques, mais qui sont caractérisés par une rare violence, imprévisibles et brefs, qui ne laissent aucune trace. Mais parfois ces disparitions se passent par temps calme. Ces disparitions inexpliquées dans le Triangle des Bermudes n’épargnent aucun type d’avions, même les plus sophistiqués.

Voici un exemple connu dont l’intérêt est que quelques informations techniques sont disponibles : le 22 février 1978, le porte-avions US Kennedy s’est positionné en vue de l’appontage d’un bombardier d’attaque Grumman (1). A bord du biréacteur, tout se déroule normalement pendant les 20 premières minutes. C’est alors que le pilote envoie un très bref message aux contrôleurs aériens du porte-avions: « Attendez ! Quelque chose ne va pas ! » (c’est le dernier message qu’il enverra). Le radar du porte-avions indique alors que l’avion est à 50 km du navire, sur une trajectoire idéale pour l’appontage, et le vol paraît normal, à part le message du pilote, confirmé par le copilote, sans autre explication.

L’avion se trouve à 4300 mètres d’altitude quand, deux minutes après le message, son écho radar disparaît soudain sur les écrans des contrôleurs qui tentent vainement d’établir un contact avec les deux aviateurs. L’avion a ainsi disparu subitement, sans laisser de traces. De vastes recherches sont en effet restées vaines. Aucun débris n’a jamais été retrouvé.

Analyse:  Quelle que soit l’origine de cet événement dramatique, il n’a pas laissé le temps à l’équipage de s’éjecter. Ce détail a intrigué les enquêteurs car l’avion était équipé de sièges éjectables dotés d’une balise de secours qui devait se déclencher automatiquement au moment de l’éjection. Or même si on peut envisager qu’une balise ait pu être en panne, il était hautement improbable que les deux aient pu l’être simultanément.

Il semble que les aviateurs aient donc été confrontés à un phénomène subit qui leur était inconnu. La disparition soudaine de l’avion sur les écrans radars du porte-avions pourrait laisser penser qu’il a explosé en vol mais aucun incident technique ne l’aurait annoncé et l’explosion aurait été visible sur les écrans radar. De plus, le fait qu’aucun débris n’ait été recueilli amène à rejeter cette hypothèse. Il reste alors l’hypothèse a priori incroyable que l’avion, avec son équipage, auraient été dématérialisés, puisque l’appareil ne réfléchissait plus les ondes électromagnétiques émises par le radar, alors que tout objet matériel dense doit nécessairement réfléchir ces ondes !

Or l’étude du phénomène ovni développée par Daniel Harran à conduit à l’interprétation que ces phénomènes sont des manifestations interdimensionnelles. Plus précisément, nous sommes parvenus à la conclusion que des êtres élémentaux, présents dans une autre dimension, se manifestent dans le plan matériel des hommes à travers les phénomènes de type ovni (et d’autres phénomènes). Ces élémentaux ont en effet la capacité d’agir sur la matière, soit en créant des objets de forme quelconque et en les densifiant, en les matérialisant afin qu’ils apparaissent aux hommes, soit inversement en les dématérialisant pour les rendre invisibles.

C’est ainsi les multiples disparitions d’objets qui ont été rapportées au col de Vence (2), suivies de réapparitions (souvent en des lieux différents) ont été interprétées par des manifestations d’êtres élémentaires (3). Même des disparitions (temporaires) de chiens ont été observées et interprétées de la même façon. D’autre part, la disparition du caporal Valdes, suivie un peu plus tard de sa réapparition, qui est un cas bien connu en ufologie, a été interprété de même (3).

Le cas de la disparition de l’avion rapporté ci-dessus semble donc pouvoir être interprété par une manifestation interdimensionnelle provoquée par des êtres élémentaux, qui auraient dématérialisé l’avion (avec ses passagers), en le faisant passer dans un plan parallèle, dans une autre dimension.

En fait un grand nombre de disparitions d’avions dans le « Triangle des Bermudes » se passent dans les mêmes conditions, sans laisser de traces, sans qu’aucun débris ait été retrouvé, comme s’ils s’étaient volatilisés, mais il est plus juste de dire comme s’ils avaient été dématérialisés. On peut remarquer enfin que les auteurs de ces disparitions collectives ne font pas partie des êtres du monde invisible qui sont spécialement bienveillants envers les hommes …

(1): Le Triangle des Bermudes – Bernard Marck et Jean-Claude Bourret. (Ed. L’Archipel)

(2): Les mystères du col de Vence – Pierre Beake et l’association Col de Vence.com (Ed. Le temps présent)

(3): OVNIs, Crop circles & MIDIM, Daniel Harran (Ed. EccE)