Depuis quelques décennies, les photographies révèlent parfois des présences invisibles qui se manifestent par ce qu’on appelle des « orbes ». Ce sont le plus souvent des disques blancs superposés au sujet photographié. Ces orbes peuvent être colorées, et montrent parfois une structuration interne. Voir l’étude proposée dans l’article d’avril 2018 dans ce blog.

  • Le fait qu’elles aient la même apparence que les figures de diffraction optique provoquées par l’interaction entre la lumière d’un flash et des particules de poussière en suspension dans l’air, mais qu’on puisse les observer aussi en l’absence de poussière, conduit à proposer que les orbes peuvent être provoquées soit par des particules matérielles, soit par des « particules énergétiques ». Dans ce second cas, ces condensations d’énergies peuvent être liées à des présences énergétiques, immatérielles, c’est à dire à des entités présentes dans un monde parallèle, proche de notre monde matériel, comme le sont les êtres élémentaux. En d’autres termes les orbes de cette catégorie sont des manifestations interdimensionnelles.
  • Mais il est possible d’obtenir aussi des orbes en plein jour, sans qu’un flash ait été utilisé. Il y a donc dans ce cas création de lumière. Le fait que ces orbes ne sont pas visibles à l’œil nu et apparaissent uniquement sur des photographies montre que leur lumière n’est pas de même nature que la lumière habituelle, celle qui éclaire notre environnement naturel. Dans ce cas encore, cette production de lumière révèle la présence d’entités dans un plan parallèle, proche de notre monde matériel, des êtres élémentaux.

  • Mais que peut-on dire alors des photographies ci-dessus ? Ces photographies ont été prises au fond d’une grotte, à l’aide d’un flash. Des petites bougies avaient été disposées en plusieurs points, de part de d’autre de la statue. Quelle ne fut pas la surprise de la photographe quand elle a découvert ces espèces de grands cierges sur sa photographie. On voit cinq « cierges lumineux » posés sur chacune des bougies. Tout se passe comme si la lumière des bougies avait été « étirée » vers le haut, pendant la durée d’exposition (ou la durée du flash). Le flash ne peut pas expliquer ce phénomène, qui est véritablement exceptionnel. On peut remarquer que ces « cierges lumineux » sont approximativement identiques et sensiblement parallèles entre eux. De plus, ils sont comme enserrés dans des cylindres moins lumineux. Ces effets ne peuvent évidemment pas être naturels, et révèlent qu’une intelligence mystérieuse a voulu attirer l’attention de la photographe en se manifestant ainsi.
  • On peut proposer l’idée que, comme les « cierges lumineux » sont créés à partir des flammes des bougies, étirées par une force liée à cette intelligence mystérieuse, ces cylindres seraient créés à partir des coupelles des bougies, éclairées par le flash et « étirées » de la même façon par la même force.

  • Ce phénomène est exceptionnel. En effet, on peut voir sur la photo ci-dessus, prise à un autre moment mais au même endroit avec un angle de vue un peu différent, que ce processus « d’étirement » des flammes des bougies n’existe pas.

  • Même si ce type de photographie semble être rare, on peut en observer un autre exemple dans la photo ci-dessus, prise par la même photographe. Cette photo a été prise cette fois sans flash, dans une pièce où une personne est en train de recevoir un soin énergétique. Plusieurs bougies ont été disposées sur la table basse, et l’on peut voir que le même processus a été mis en œuvre : comme si les lumières de ces bougies avaient été longuement « étirées », non plus dans une même direction, mais en dessinant des circonvolutions complexes. On remarque en effet que ces « filaments de lumière », issus de chacune des bougies, ont tous la même forme, alors que le reste du sujet photographié est bien net et n’a pas été affecté par ce processus (comme dans la photo de la grotte ci-dessus). On peut même imaginer que ces circonvolutions dessinent plusieurs petits personnages qui veillent sur la personne allongée …

Ce processus est une preuve qu’une intelligence non-humaine, présente dans le fond de la grotte ou ici dans cette chambre, a choisi de se manifester à la photographe. Selon l’interprétation développée dans notre étude, seuls des êtres élémentaux ont la capacité d’agir ainsi sur la lumière, comme ils ont la capacité d’agir sur la matière.

Merci à Véronique Ferrand pour le partage de ses photos ci-dessus, qui ont une grande valeur pédagogique (http://fleursdeverobis.canalblog.com/).