Le présent article montre un phénomène similaire à celui étudié dans l’article du 22 octobre 2018 : des espèces de « cordons lumineux » apparaissent sur certaines photographies, alors que les personnes présentes au moment des prises de vue n’avaient rien observé de tel. Il s’agit donc de manifestations interdimensionnelles. Mais ces deux articles se distinguent par le fait que :

– dans le premier article (22/10/2018), les auteurs du phénomène (des élémentaux selon l’interprétation proposée) ont utilisé les sources de lumière existantes (des bougies) en les « étirant » ;

– alors que dans les cas étudiés dans ce deuxième article, il n’y avait pas de source de lumière visible qui puisse expliquer ce phénomène (pas de bougies). Il y a donc eu nécessairement ici production de lumière, mais une lumière de qualité différente de la lumière naturelle puisqu’elle était invisible pour les personnes présentes. Ceci peut être interprété en proposant l’idée que, comme cela se passe pour les orbes, elle était issue d’un monde parallèle.

1) La photographie ci-dessus a été prise dans une chapelle en ruine, sans flash. On est immédiatement frappé par les décorations qui ont été plaquées sur la personne photographiée : deux espèces d’épaulettes blanches exactement symétriques et quasiment « à leur juste place », ainsi qu’une tache blanche qui simule un mouchoir qui sortirait de la poche de poitrine sur le vêtement. Ces traits et la tache blanche ne font absolument pas partie du vêtement, ils ont été surajoutés sur la photo. Une telle photographie peut paraitre incroyable, elle est évidemment garantie sans trucage.

Ces pseudo-décorations révèlent qu’une intelligence invisible et facétieuse s’est ainsi manifestée. On voit aussi très nettement un orbe, alors que dans la photo d’origine (il s’agit ici d’un extrait agrandi) il y avait un grand nombre d’orbes. Ceci tend à indiquer que l’origine de ces décorations mystérieuses est logiquement la même que pour les orbes. Nous avons vu par ailleurs, que, d’après les connaissances de la science spirituelle, seuls les êtres élémentaux ont la capacité de se manifester ainsi, grâce à leur capacité d’action sur la matière et sur la lumière.

Merci à Tony et Martine pour cette photographie exceptionnelle et très instructive.

2) La deuxième photographie, ci-dessus, est elle aussi exceptionnelle. Elle a été prise avec un flash, mais ceci ne peut absolument pas expliquer la présence de ce « cordon lumineux », et rien n’avait été remarqué par le photographe au moment de la prise de vue. Tout se passe comme si une source lumineuse ponctuelle, invisible à l’œil nu mais à laquelle le capteur photographique est sensible, s’était déplacée pendant la prise de vue pour venir s’arrêter (ce que montre l’intensité de la tache) exactement au-dessus de la tête du jeune garçon. Cette manifestation interdimensionnelle indique, comme dans l’exemple précédent, la présence d’une intelligence facétieuse, qui a voulu attirer ainsi l’attention des personnes présentes. Rappelons que les êtres élémentaux ont justement la caractéristique d’être facétieux et de s’amuser des tours qu’ils peuvent jouer aux humains.

Merci à André pour cette photographie originale de son fils.

3) La troisième photographie a été prise au centre d’un agroglyphe (crop circle) de nuit, à l’aide d’un flash. Ici encore, tout se passe comme si une source lumineuse, qui était invisible à l’œil nu, s’était déplacée – en zigzagant – pendant la durée de la prise de vue. Détail remarquable : l’extrémité de ce « cordon lumineux » est parfaitement centrée sur la photo (celle-ci n’a pas été recadrée). Ce positionnement précis, et l’existence même de ce « cordon », révèlent là encore la présence d’une intelligence qui a voulu attirer l’attention du photographe. Selon l’interprétation développée dans cette étude, cette intelligence invisible ne peut être que celle d’un être élémental, qui vit habituellement dans un monde parallèle mais a la possibilité de se manifester dans notre monde matériel.

Nous pouvons ajouter que l’auteur de cette photo avait décidé de passer la nuit dans cet agroglyphe récemment réalisé, avec l’intention d’observer les phénomènes qui pourraient éventuellement se manifester. A un moment donné, il a ressenti une présence près de lui (mais il ne voyait rien), et il a alors pris plusieurs photographies à l’aveuglette, dont celle-ci.

Merci à Laurent pour le partage de cette photographie (prise à Windmill Hill le 7 août 2009).