On désigne par « statues qui pleurent » un phénomène que certains considèrent comme miraculeux, alors que d’autres pensent qu’il s’agit de supercheries, et que pour d’autres encore il s’agit d’une réalité physique inexpliquée. Des statues, des tableaux et d’autres icônes du Christ et de la Vierge se mettent à pleurer du sang ou de l’huile. Du liquide s’écoule des yeux comme des larmes, ou semble sortir des plaies comme du sang. Le phénomène a été observé de nombreuses fois à notre époque moderne dans des pays de religion chrétienne mais également sur des statues de Bouddha.

Description très succincte :             De nos jours, on ne croit pas à la réalité de ces choses, on les considère plutôt comme des croyances d’un autre âge. Pourtant, ce phénomène étrange est bien réel et existe un peu partout dans le monde, mais comme tous les phénomènes inexpliqués par la science, on en parle très peu et il est ignoré de la plupart des gens. Aucun trucage n’a été découvert, et les fidèles accourent pour assister aux « miracles » tandis que l’église, par tradition, reste très prudente sur ces évènements. Jusqu’ici, aucune explication rationnelle n’a pu être donnée.

Ces « larmes de sang » peuvent apparaitre par intermittence des douzaines de fois par exemple, ou bien s’écouler lentement pendant plusieurs heures. Des analyses aux rayons X ont permis de vérifier qu’il n’existait aucun réservoir quelconque ni aucun mécanisme frauduleux caché à l’intérieur des statues. Des médecins respectés ainsi que des autorités ecclésiastiques ont mené des enquêtes, sans pouvoir apporter de conclusions. Des analyses ont permis de constater que le liquide écoulé pouvait être considéré comme du sang humain, mais le faible nombre de globules rouges qu’il contenait semblait indiquer que le sang était très ancien. Or, le fait que le sang puisse couler sur une longue distance avant de coaguler semblerait indiquer, au contraire qu’il s’agit de sang frais, et il aurait dû alors contenir des millions de globules rouges. Le mystère reste toujours entier puisque la science moderne ne peut pas apporter de solution.

Une interprétation rationnelle : des MIDIM :       Comme nous l’avons montré dans le site « Écoute la Terre » et dans ce blog, un bon nombre de phénomènes inexpliqués par la science peuvent trouver une explication cohérente si on les considère comme des manifestations interdimensionnelles.

Ces « larmes de sang » qui s’écoulent uniquement sur des statues, tableaux ou icônes religieux ne sont pas un phénomène naturel ni mécanique. Ces déversements de « sang qui n’est pas du sang » semblent faits pour intriguer les hommes, pour attirer leur attention. Le fait qu’ils s’écoulent exclusivement à partir des yeux ou des plaies – sur des objets en plâtre ou sur des toiles peintes – montre qu’il y a manifestement une intelligence derrière, une intelligence capable de produire ces liquides tout en étant invisible, qui provient donc d’une dimension parallèle. Ce phénomène des « statues qui pleurent » représente  une manifestation dans le monde matériel, produite par des intelligences présentes dans un monde parallèle, dans un plan subtil : une MIDIM. On peut même ajouter que ces intelligences ont une nature facétieuse ou farceuse.

Un article antérieur de ce blog (« Une connaissance spirituelle essentielle : les deux sortes d’entités perceptibles physiquement », de juin 2017) a montré que, d’après la science spirituelle, seuls des êtres présents dans le plan éthérique élémentaire, qui est proche du monde matériel, peuvent se manifester physiquement dans notre monde matériel, pour être vus par les hommes. La forme de cette manifestation n’étant pas du type hantise, elle ne peut pas être attribuée à des âmes humaines défuntes. La conclusion est alors que ce sont des êtres élémentaux qui se manifestent là. Ces êtres ont en effet une capacité de maitrise de la matière qui leur permet de créer toutes sortes de choses qui pour nous ressemblent à des prodiges. Et ils ont une nature facétieuse.

Cette interprétation risque de froisser les croyants, mais il faut se souvenir que les élémentaux sont connus par les traditions et sont décrits comme des êtres joueurs et farceurs.

Une coïncidence significative :        Il se trouve que sur la photo ci-dessus, prise dans une église de Mérida au Venezuela, on peut observer très nettement trois orbes tout près de la « statue qui pleure ». Nous avons proposé dans un autre article de ce blog (« Sur la nature des orbes », avril 2018) l’interprétation selon laquelle les orbes peuvent être produits par des condensations d’énergie, liées à la présence d’êtres élémentaux. Ainsi, la présence de ces trois orbes sur cette photographie, relativement exceptionnelle, sans être une preuve que les larmes de sang sont produites par des êtres élémentaux, est cependant un élément en faveur de cette hypothèse, et pourrait représenter comme une signature de ces élémentaux.