L’étude exposée depuis plusieurs années dans ce site et développée dans plusieurs livres a mis l’accent sur le caractère multidimensionnel du phénomène ovni et a proposé une interprétation basée sur l’existence des êtres élémentaux. Ces élémentaux sont des êtres intelligents (non-humains), qui vivent habituellement dans un monde parallèle (c’est pourquoi ils nous sont invisibles) mais ils ont la capacité de se manifester dans notre monde matériel. La très grande diversité de ces êtres élémentaux peut expliquer les manières très différentes par lesquelles ils se manifestent aux hommes. Il existe en effet une grande variété de phénomènes mystérieux, inexpliqués par la science, qui peuvent leur être attribués. Les êtres de la nature, qu’on les appelle aussi les esprits de la nature, en font partie.

Or le développement de cette recherche m’a amené à prendre conscience  … qu’il existe une autre catégorie d’êtres élémentaux, qui sont liés à la Lune, et sont présents dans le plan matériel sur la Lune. De nombreuses observations attestent en effet que la Lune n’est pas un astre entièrement mort comme nous l’avons tous appris. Il existe de nombreuses preuves qu’elle est occupée par des êtres intelligents (non-humains), mais cette réalité est cachée aux hommes. Les prochains articles de ce blog se proposent d’aborder ce sujet. Le présent article s’intéresse aux émissions lumineuses perçues depuis la Terre.

  • Depuis plusieurs siècles, de nombreux astronomes, des amateurs comme des professionnels, ont observé, simplement armés de leurs lunettes astronomiques, des phénomènes lumineux sur la Lune, qui ne peuvent pas être expliqués par une origine naturelle. Ce sujet n’est pas connu, pourtant, une riche documentation existe sur le sujet.

Fred Lawrence Wipple (1906-2004), célèbre astronome américain, a écrit : « De nombreux observateurs ont noté des phénomènes d’apparition de brumes, de colorations rougeâtres ou d’intensification de lumière sur certains fonds de cratères et sur les rives de certaines mers dès le 18ème siècle. »

Barbara M. Middlehurst et Patrick Moore, astronome britannique renommé, surtout connu comme un spécialiste de l’observation de la Lune, ont relevé plus de quatre cents rapports similaires, dont certains remontent à près de deux cents ans, comme celui du célèbre astronome William Herschel, découvreur de la planète Uranus. En 1797, il avait observé trois taches rougeoyantes sur la partie non éclairée de la Lune.

Ces observations ont été faites en de nombreux endroits de la Lune, par exemple :

           – dans le cratère d’Aristarque : on a relevé des lumières clignotantes, des lueurs rougeâtres, des points scintillants, des lumières changeantes, etc. au sommet des pics périphériques et sur le fond du cratère ;

           – dans le cratère de Platon : des lumières clignotantes, des points lumineux, des lumières mouvantes, des lueurs rougeâtres ;

           – dans cratère de Gassendi : des lumières clignotantes, des éclairs sur la paroi extérieure puis intérieure, une lueur rose sur le fond du cratère, des ombres mouvantes sur les parois verticales.

           – dans le cratère de Poséidon : une coloration ocre de l’arête occidentale par ce qui semblait être une sorte de nuage.

Le 3 novembre 1958, Nikolai A. Kozyrev, astronome astrophysicien russe de l’observatoire de Kharkov, avait braqué son spectrographe sur la crête centrale du cratère Alphonsus. Il remarqua d’abord que l’arête devint floue et baignée d’une lueur rougeâtre. Deux heures plus tard, une vive lumière blanche en émanait. Il lui sembla qu’il y avait eu une émission de gaz ayant duré entre une demi-heure et deux heures et demie. Au cours de nombreuses autres observations, N. A. Kozyrev en vint à la conclusion qu’il y avait de temps à autre des émissions de gaz en quantités importantes provenant de fissures ou de cratères lunaires. La nature de ces gaz et leur origine ne lui étaient pas accessibles.

L’astronome américain Dinsmore Alter, à propos du « voile » qu’il a observé en 1956, cachant le fond du cratère Alphonsus, a attribué ce phénomène à une décharge de gaz émanant de petits points noirs répartis le long de certaines fissures, cette décharge étant peut-être destinée à former une sorte d’atmosphère provisoire. Le même phénomène a été observé dans le cratère de Linné. On voit que dans ce rapport, l’hypothèse est émise que cette « sorte d’atmosphère provisoire » pourrait être le résultat d’une activité intelligente.

L’astronome soviétique Alexandre N. Deutsch a suggéré en 1961 que, compte tenu de la température constante qui règne sous l’écorce de la Lune, il pourrait y avoir des réserves de gaz capables de favoriser l’apparition de la vie animale ou végétale.

Au-delà des phénomènes lumineux, l’existence temporaire de nuages et de poussières en suspension a été observée par d’innombrables hommes de science parmi les plus illustres. On a souvent attribué les lumières lunaires au volcanisme. Mais la Lune ne révèle aucune activité volcanique visible et, dans le rapport scientifique de la mission Apollo 17, la NASA a définitivement écarté cette hypothèse en déclarant que la Lune est parfaitement inactive sur le plan du volcanisme. Ainsi, selon les connaissances de la science, tous ces phénomènes « ne peuvent pas exister », c’est pourquoi tous ces rapports et ces travaux ne sont pas diffusés et restent secrets.

Or ces innombrables observations, faites et répétées par des astronomes différents, sont autant de preuves de la présence mystérieuse d’êtres intelligents sur la Lune, que la science n’est pas prête à reconnaitre officiellement. C’est une réalité qui doit être connue et doit pouvoir être expliquée.

  • Ces informations ont été tirées d’un livre publié en France en 1978 par George Leonard. Celui-ci était un des employés de la NASA qui étaient chargés d’analyser les photos prises par les sondes lunaires américaines. Dans le cadre de ce travail, il a compris que la NASA savait qu’il y avait une activité intelligente sur la Lune, mais qu’elle faisait tout pour cacher cette information au public. Il a alors décidé de partager ses propres connaissances sur le sujet en publiant le livre « Somebody else is on the Moon » aux Etats-Unis (en 1977). Il a ensuite été traduit en français avec le titre « Ils n’étaient pas seuls sur la Lune – le dossier secret de la NASA« .

Mais la version américaine, comme la version française, ont été très vite retirées du marché et interdites à la vente ! C’est pourquoi leur existence n’est quasiment pas connue. En 2016 cependant, le même livre a pu être publié en France de nouveau grâce à un autre éditeur, sans toutefois qu’il puisse être diffusé en librairie, et le livre est de nouveau disponible aussi aux Etats-Unis. Les responsables de la censure ont peut-être considéré que, quarante ans après la rédaction du livre, son impact dans le public serait suffisamment amoindri. Mais les révélations contenues dans ce livre sont toujours d’actualité et toujours aussi « explosives ». Dans la première partie du livre il a rapporté les résultats de sa recherche bibliographique sur les observations lumineuses. C’est cette partie qui a été résumée ici.

Ce livre est disponible à la vente dans ce site :   https://www.ecoutelaterre.fr/public/livres/pas-seuls-sur-la-lune