La présente étude a abouti à la conclusion que la plupart des phénomènes mystérieux de type OVNI ou crop circles sont des manifestations d’êtres de la nature. Mais pour beaucoup de gens, la difficulté première pour accepter de prendre en considération cette interprétation nouvelle est que les hommes de notre époque ne croient pas en l’existence de ces êtres. Et même si on leur explique que ces êtres étaient bien connus et respectés des hommes d’autrefois, que la religion islamique en parle abondamment (les djinns), que les petits enfants et les clairvoyants les perçoivent directement, ceci reste intellectuel et ils n’y croient pas davantage.

Pourtant, d’autres témoignages sérieux prouvent que ces êtres existent réellement, même de nos jours. En effet, en ce 21ème siècle, dans certaines régions d’Afrique noire encore en partie préservées de l’influence de la civilisation occidentale, la culture indigène connaît l’existence d’êtres, semblables à de petits hommes, qui sont habituellement invisibles et vivent dans « un autre monde » que le nôtre.

A ce sujet, deux ouvrages récents méritent toute notre attention car ils ont été écrits par deux hommes qui ont personnellement rencontré de tels êtres. Le premier, intitulé « Sagesse africaine » a été écrit par un auteur africain, Malidoma Patrice Somé, initié aux traditions encore vivantes par les Anciens de son village et plus tard instruit à un haut niveau dans des universités prestigieuses, en France et aux États-Unis. Cette double formation lui a permis de faire un pont extrêmement précieux entre la culture traditionnelle africaine et la culture occidentale moderne. Le deuxième ouvrage a pour titre « Rencontre avec des êtres d’un autre monde » (auteur : Maen). Il a été écrit par un Français, qui est sans doute le premier homme occidental à avoir pu rencontrer directement et à plusieurs reprises de tels êtres, grâce à ses contacts privilégiés avec un guérisseur traditionnel.

Ces êtres sont décrits comme des êtres très intelligents et très puissants qui vivent dans une dimension proche de la nôtre, de petits êtres semblables à ceux que la mythologie occidentale appelle des lutins. Ces auteurs expliquent comment ils ont pu les rencontrer physiquement, dans des grottes. Ils ont pu les toucher, échanger des objets, et même parler avec eux. Tout ceci paraît tout à fait incroyable mais ces témoignages sont authentiques. La description qui en est faite conduit à voir une très grande similarité avec les êtres de la nature, tels qu’on les appelle en Occident.

C’est grâce à leur mode de vie marqué par des rapports intimes avec la nature que ces peuples indigènes d’Afrique ont développé depuis des temps très anciens le contact et la connaissance de « ces êtres d’un autre monde ». En Occident, c’est le développement de la société technologique et matérialiste qui a entrainé pour les hommes la perte de leurs capacités de perception de ces êtres, puis la fin des relations avec eux et l’oubli de leur existence. En fait, ces connaissances sont courantes aussi en Asie et probablement ailleurs, dans les peuples qui ont pu conserver un lien étroit avec la nature, étant encore relativement préservés de l’influence occidentale.

Ces êtres, qui vivent dans une autre dimension que la nôtre, sont tout aussi présents qu’autrefois, que les hommes les perçoivent ou pas. En Afrique noire, ils sont au service des hommes grâce en particulier aux guérisseurs traditionnels avec qui ils ont de fréquents contacts, car les hommes les reconnaissent et les respectent. Ailleurs dans le monde, ils envoient régulièrement aux hommes qui les ignorent des signes de leur existence, mais selon les pays ou les régions, ils se manifestent sous des formes différentes, car ils sont très indépendants entre eux.