Il arrive parfois que des caméras de surveillance installées dans des habitations révèlent des présences mystérieuses, non humaines. Les photos ci-jointes en donnent une idée. Elles ont été prises de nuit par un appareil photographique à infrarouge qui déclenche automatiquement une prise de vue dès qu’un mouvement est détecté, sans flash et sans source de lumière. La seule lumière visible sur les photos est donc le résultat du rayonnement infrarouge émis autour de lui par l’objet mystérieux, qui a été transformé en lumière blanche par l’appareil photographique. Les prises de vue se sont étalées sur plusieurs semaines. Nous voyons donc un « objet » qui prend des formes très changeantes (il n’a pas de forme propre), et se déplace près de l’escalier. D’autres images que celles-ci ont été prises.

En réalité, ce n’est pas un objet matériel. En effet :

  • il n’est pas matériel au sens ordinaire du mot puisqu’il n’a pas de forme définie. Il ne repose d’ailleurs pas sur le sol, et ne semble pas être soumis à la pesanteur. Il n’appartient donc pas à notre espace-temps, à notre plan matériel, et semble relever d’un plan parallèle.
  • ce n’est pas non plus un simple objet puisqu’il est animé : il change de forme et il se déplace.

On peut alors le désigner par le mot « entité ». Le fait que cette entité émette une énergie qui impressionne la matière sans appartenir à notre plan (ou notre monde) matériel (émission sous forme de rayonnement infrarouge, pour lequel le capteur photographique est sensible), indique qu’elle se trouve dans le monde élémentaire, ce monde intermédiaire entre le monde éthérique et le monde matériel. Les connaissances spirituelles enseignent que seuls les êtres qui se trouvent dans le monde élémentaire peuvent se manifester dans la matière, ici sur une photographie. Les êtres qui sont dans le monde spirituel, tels que les anges, n’ont pas cette capacité (ils ne peuvent alors se manifester dans le plan matériel qu’à travers des êtres élémentaires, c’est ce qui se passe pour les agroglyphes par exemple).

Le monde élémentaire est occupé par les êtres élémentaux, les êtres de la nature par exemple, mais aussi par les âmes humaines qui sont restées accrochées au monde matériel après leur mort physique. Ces âmes sont en général mortes subitement et leur conscience n’a pas compris que leur corps physique était mort, elles restent alors attachées au lieu dans lequel elles se trouvaient dans le monde physique ou au lieu qu’elles habitaient, et peuvent errer dans ce lieu pendant longtemps. Ce sont des âmes errantes, qui peuvent être perçues comme des fantômes. Certaines personnes (les passeurs d’âmes) savent les aider à se libérer de leur attachement au monde physique afin qu’elles poursuivent leur chemin dans le monde astral.

De quel type de présence s’agit-il sur cette photo  précisément ? Plusieurs évènements vécus dans cette maison à l’époque des prises de ces photographies permettent de répondre à cette question.

  • La maison a été construite par un homme, père du propriétaire actuel, qui était une personne très matérielle, et très attachée à sa maison. Il est décédé subitement à l’hôpital suite à une maladie foudroyante, environ trois ans et demi avant, sans être repassé par sa maison.
  • Or un soir où le petit-fils des propriétaires, âgé de 28 mois, rentrait dans cette maison, il s’est affolé pendant quelques secondes en regardant l’escalier et a dit : « chut peur papi ». Ce jeune garçon n’avait jamais connu son arrière grand-père de son vivant, mais le connaissait en photo. Il faut savoir qu’il est très courant que les enfants en bas âge voient, réellement, des êtres que les adultes ne voient pas. Ils ont naturellement des perceptions plus sensibles, qui sont presque toujours perdues vers l’âge de 5 ou 6 ans. Ils peuvent voir aussi bien des êtres de la nature (cas le plus courant) que des âmes défuntes, encore présentes dans le monde élémentaire. Dans le cas présent, il avait donc reconnu spontanément la présence de son papi et l’avait clairement exprimé. Ceci est déjà un élément de réponse qui ne trompe pas.
  • De plus, pendant cette période, les propriétaires de la maison (fils et belle-fille de la personne décédée) ont été réveillés la nuit à plusieurs reprises par des petites lueurs dans leur chambre, qui ressemblaient à la flamme d’un briquet qui oscillait. Cette observation confirme bien que l’âme du père était encore présente dans « sa maison », et dans « sa chambre », auprès de son fils et de sa belle-fille.
  • Autre élément encore, la belle-fille entendait des pas dans le grenier, pendant un temps après le décès de son beau-père.
  • Enfin, lors d’une nuit où la présence de cette entité avait été captée par l’appareil photographique, la belle-fille se souvenait avoir très mal dormi, avec des sensations de peur et de mal-être.

Ces observations trahissent qu’il y avait une présence invisible attachée à cette maison. Tous ces éléments sont cohérents avec l’interprétation selon laquelle c’est bien l’âme errante du père du propriétaire actuel qui se manifestait de multiples manières dans la maison à laquelle il était resté attaché. Cette compréhension a entrainé la nécessité d’aider cette âme errante à prendre conscience de sa situation afin qu’elle poursuive son chemin dans le monde astral.

Ces photographies représentent donc une forme de manifestation interdimensionnelle, une MIDIM, qui peut nous rappeler le phénomène des orbes, ces taches (circulaires et blanches le plus souvent) que l’on découvre parfois sur des photographies. Dans les deux cas, ce sont en effet des entités présentes dans le plan élémentaire qui se manifestent dans le plan matériel. Mais dans le cas présent, cette MIDIM doit être attribuée non pas à un être de la nature comme dans le cas des orbes, mais à une âme humaine errante.

On remarque que celle-ci a manifesté sa présence de plusieurs façons :

  • en émettant un rayonnement infrarouge, capté par l’appareil photographique,
  • en émettant des petites lueurs semblables à la flamme d’un briquet,
  • en émettant des bruits (bruits de pas dans le grenier)
  • en émettant une énergie, qui a incommodé la belle-fille.

Un être de la nature peut lui aussi se manifester, par exemple par l’émission d’un disque de lumière sur des photographies, mais aussi par de multiples autres manières. Cependant, dans le cas des orbes, cette lumière n’est pas visible directement par l’œil humain, ce qui révèle une qualité différente de la lumière, liée justement au caractère interdimensionnel du phénomène.

Merci à Lionel et Catherine pour le partage de ces photos et de ces observations très instructives.

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