Nous connaissons les crop circles – agroglyphes – qui sont, comme leur nom l’indique, des motifs dessinés dans des cultures et qui n’existent qu’au printemps ou en été, quand les cultures sont sur pied. Nous savons aussi que des agroglyphes ont été observés dans tous types de supports végétaux, non seulement des champs de blé, de colza, de maïs, ou de lin etc., mais aussi des supports végétaux non cultivés, des étendues d’herbe par exemple, même si cela est beaucoup moins fréquent (ce sont alors de simples cercles).

Sur le sable :        Par contre il arrive parfois – cela semble rare et très peu connu – que des formations circulaires aussi mystérieuses soient découvertes sur des supports minéraux, à l’exemple de celui qui fait l’objet de la photo ci-dessus. Cette image a été prise sur une plage bretonne, à Piriac-sur-Mer en Loire atlantique (merci Chantal). Le motif est formé d’un ensemble de cercles concentriques creusés dans le sable, avec alternativement des cercles plus fins et des cercles plus larges. Sur la base de la silhouette humaine qui peut servir de référence, on peut estimer le diamètre extérieur à une trentaine de mètres environ. Il est impossible d’imaginer qu’un motif aussi grand et aussi régulier ait pu être formé par un homme sans laisser de traces, car on voit juste une trace de pas qui traverse la formation, faite probablement par un promeneur après la réalisation des cercles.

L’idée qui vient à l’esprit est que ce motif circulaire a été réalisé « à l’aide d’un compas géant » planté au centre, mais aucune trace ne montre qu’un tel outil matériel ait pu être amené et ensuite enlevé. C’est comme si cette forme géométrique parfaite avait été réalisée par un « compas immatériel », autrement dit par des forces invisibles. C’est bien le même constat que celui que l’on fait avec les agroglyphes que l’on découvre chaque année dans des champs de céréales. Rappelons que, jusqu’en 1990, les agroglyphes étaient tous limités à des formes circulaires. Ce n’est que depuis cette date qu’ils ont progressivement évolué pour donner les formes complexes que nous connaissons de nos jours.

Les caractéristiques étant les mêmes, nous sommes amenés à proposer que l’origine est similaire, à savoir que ces cercles dans le sable ont été réalisés par des êtres de la nature, des élémentaux, pour attirer l’attention des hommes.

Sur la neige :            Le sable n’est pas le seul support minéral que le monde invisible utilise pour se manifester et attirer l’attention des hommes. Des formations similaires ont été observées sur la neige, à l’exemple des images ci-dessous. On peut y voir un ensemble de courbes « concentriques », mais qui ne sont que partiellement circulaires et non pas réellement circulaires. Là aussi quelques traces de pas ont traversé la formation, mais ne permettent pas de comprendre comment celle-ci a été réalisée. Une origine humaine peut être raisonnablement être exclue car aucune explication matérielle et rationnelle ne peut être proposée (aucune trace n’est visible, qui pourrait expliquer la formation), et l’origine est donc mystérieuse. Il est logique de penser que, là encore, des êtres de la nature se sont manifestés pour attirer l’attention des hommes. On peut voir dans la deuxième image, que la neige semble avoir été fondue pour creuser ainsi des sillons parallèles.

D’autres cercles sur la neige:               Dans l’ensemble de cercles ci-dessous, il est intéressant de remarquer que, là aussi, les cercles ont été creusés dans l’épaisseur de la neige, sans que celle-ci n’ait été déplacée (en effet il n’y pas d’amas de neige nulle part). L’idée qui vient à l’esprit est que la force mise en œuvre pour dessiner ces cercles aurait eu pour effet de faire fondre la neige, mais une observation attentive, sur un détail de ces cercles (photo inférieure) permet de constater que la neige n’a pas fondu. Tout se passe comme si cette neige avait été « prélevée » sans être accumulée ailleurs, ou plus précisément comme si elle avait été « dématérialisée» pour creuser les cercles. Or on sait, de par l’analyse des phénomènes de type ovni proposée par Daniel Harran, que les êtres de la nature ont effectivement la capacité de dématérialiser la matière (comme ils ont la capacité de matérialiser et dématérialiser des objets). Cette observation est aussi destinée à nous interpeller, non seulement à attirer notre attention  sur l’existence d’êtres invisibles, mais aussi à nous rappeler leurs capacités de maîtrise de la matière.