L’observation qui suit est tirée du livre « Les mystères du col de Vence »(1) , et a déjà été analysée dans le livre « OVNIs, crop circles & MIDIM »(2).

Une pierre venue d’on ne sait où:

Des amis passionnés par les mystères du col de Vence (sur les hauteurs de Nice) venaient de faire une veillée de nuit en ce lieu. En revenant à leur voiture, ils ont d’abord découvert sur le capot une pierre de forme triangulaire, posée sur une tranche, qu’ils n’avaient pas posée eux-mêmes et qui ne pouvait pas être tombée toute seule (le lieu était absolument désert) … Ceci était déjà extraordinaire car cela représentait un cas de matérialisation (ou de déplacement depuis le sol) incompréhensible, mais ce n’est pas un cas unique de matérialisation au col de Vence (voir les deux références citées).

Une image qui défie les lois de la science:

Par précaution, ils ont décidé de photographier l’objet avant de le toucher. Et c’est là qu’il s’est passé une deuxième chose extraordinaire : l’image enregistrée, qu’ils ont contrôlée tout de suite sur l’écran de leur appareil photographique, a révélé un détail « impossible ». Alors que la photographie a été prise à l’aide du flash, le reflet de la pierre sur le capot n’était pas conforme à l’objet ! Chacun peut se rendre compte en effet que, même si au premier coup d’œil le reflet semble conforme aux contours de la pierre, en réalité deux formes coniques (qui sont comme opposées l’une à l’autre) ont été accolées, ajoutées au reflet de la pierre ! Autrement dit : alors que la majeure partie du reflet de la pierre est conforme aux lois de la réflexion en optique, ces formes coniques n’obéissent pas à ces lois, et leur présence n’a pas d’explication scientifique. De plus ces deux formes coniques ne se touchent pas, ce qui est encore plus irréaliste.

Image contrastée

Quelle est alors l’origine de cette « anomalie » ?

  • Cette image qui défie les lois de la science, ne peut pas être un artefact technique causé par une anomalie de l’appareil photographique, sa forme est trop précise.
  • Elle ne peut pas être d’origine humaine (un canular de l’un des amis), car cela demanderait un travail méticuleux sur un ordinateur, or ils étaient plusieurs à découvrir ensemble ce phénomène au moment où il a été créé. Il n’y a donc pas d’explication rationnelle, basée sur les connaissances scientifiques.
  • Doit-on alors faire appel à l’hypothèse extraterrestre ? Cette question est tout à fait déplacée, hors de propos, l’observation ressemblant plutôt à un canular, insignifiant au regard de l’idée que l’on peut se faire d’êtres extraterrestres en visite sur la Terre.
  • Tout se passe comme si un être invisible s’était manifesté là, d’une façon qui dépasse complètement les capacités humaines. Peut-on alors envisager que cet être invisible soit une âme humaine défunte ? Nous avons vu dans un article antérieur de ce blog (« Une connaissance spirituelle essentielle: les deux sortes d’entités perceptibles physiquement », daté du 15 juin 2017) que certaines de ces âmes peuvent parfois se manifester dans le monde matériel, quand elles séjournent dans le plan éthérique élémentaire, qui est proche du plan matériel. C’est le cas pendant les trois jours (environ) qui suivent le décès, mais ces personnes sont alors trop préoccupées par les transformations qu’elles traversent après avoir abandonné leur corps physique et ont autre chose à faire que de s’amuser avec des humains incarnés. D’autre part, les âmes humaines errantes, qui restent plus longtemps dans le plan éthérique élémentaire car en général elles n’ont pas compris qu’elles avaient quitté leur corps physique, sont elles-mêmes en souffrance, et ne peuvent pas être suspectées de faire des facéties aux autres humains. Hors de ces cas-là, les manifestations des âmes humaines défuntes sont rares, et s’adressent directement et personnellement à une personne proche.
  • Cette image ressemble tout à fait à un canular ou une facétie, mais non pas un canular fait par un humain. Si l’on accepte l’authenticité de cette image, elle signifie qu’elle a été créée par  un être invisible (puisqu’il n’a pas été vu), intelligent (car les formes apparues ne sont pas du tout quelconques), et facétieux. Prenant en compte que cette pierre a d’abord été « matérialisée » ou bien déplacée et posée sur le capot de la voiture par cet être, on peut préciser qu’il possède un pouvoir sur la matière, qui dépasse les capacités humaines.

Une signature des esprits de la nature:

L’entité qui s’est manifestée là est :

● invisible, elle appartient donc à un plan parallèle (ou à une autre dimension),

● elle est intelligente,

● elle a la capacité d’agir sur la matière et aussi sur la lumière (pour manipuler l’image du reflet de la pierre),

● elle s’est manifestée de façon facétieuse, espiègle, moqueuse.

Ces caractéristiques sont celles que les traditions et la science spirituelle prêtent aux esprits de la nature, aux élémentaux. On a en fait dans cette anecdote comme une signature de ces esprits de la nature.

Même si les hommes de notre époque moderne sont trop marqués par la vision matérialiste du monde et ont oublié l’existence de ces êtres (ou les considèrent comme des fruits de l’imagination humaine), car ils vivent habituellement sans interférer avec notre monde matériel, la réalité de cette anecdote, si l’on accepte son authenticité, est une preuve concrète de l’existence des esprits de la nature. Elle impose d’abandonner la vision matérialiste du monde, trop limitée, pour une vision plus spirituelle, dans laquelle des êtres vivent dans des plans parallèles  invisibles.

Pour l’auteur du présent article, l’authenticité de cette anecdote ne fait aucun doute car il a pu observer personnellement et à plusieurs reprises des évènements similaires.

DISPARITION  D’UNE  MONTRE :

Autre anecdote, vécue personnellement. Un jour, F. qui était assise à son bureau, s’aperçut qu’elle n’avait plus sa montre au poignet. Surprise ! car elle se souvenait avoir lu l’heure sur sa montre peu avant. Surprise accentuée par le fait que le bracelet métallique de la montre comportait une sécurité qui l’empêchait de tomber toute seule, il fallait nécessairement défaire cette sécurité puis faire glisser le bracelet sur sa main pour l’enlever. F. regarde par terre, sur son bureau, cherche partout dans la maison : plus de montre !  Et elle finit par s’occuper à autre chose.

Puis un peu plus tard dans la soirée, alors qu’elle revenait s’asseoir à son bureau, elle s’aperçoit que son pied droit touche quelque chose par terre. Surprise : sa montre est là par terre, sur sa droite. La montre n’avait pas pu tomber toute seule pour la raison expliquée plus haut, et parce qu’elle porte toujours sa montre à son poignet gauche.

Tout porte à croire – même si ceci est contraire aux lois de la science et donc « impossible » à croire – que la montre a été « dématérialisée » pour la faire disparaitre du poignet de F. et ainsi attirer son attention, puis « rematérialisée » par terre, à son bureau, de façon à attirer encore son attention.

Quelle l’origine de cette disparition temporaire ?

  • L’origine humaine est immédiatement écartée si l’on accepte l’authenticité de l’anecdote.
  • L’origine liée à des âmes humaines défuntes doit aussi  être écartée, pour les mêmes raisons que celles évoquées dans le cas précédent.
  • Doit-on invoquer l’hypothèse extraterrestre ? Comme dans l’histoire du reflet impossible, elle n’est pas cohérente avec la portée apparemment insignifiante de qui s’est passé.
  • On peut relever plutôt le caractère nettement facétieux de l’anecdote, qui n’a eu aucune conséquence dommageable.
  • Mais cette anecdote prend tout sons sens quand on apprend qu’elle s’est passée précisément quand F. était en train de relire le manuscrit du livre écrit par Daniel Harran (2), et qu’elle lisait en particulier le chapitre consacré aux disparitions d’objets au col de Vence … !

On peut alors récapituler la question de l’origine de la disparition de la montre, en précisant que son auteur est un être invisible, intelligent, qui a un pouvoir sur la matière tel qu’il peut dématérialiser un objet et le rematérialiser un peu plus tard à un autre endroit, et qui a un caractère facétieux très affirmé. Nous avons, là encore, la signature d’un esprit de la nature. Cette anecdote a donc une très grande valeur pédagogique. L’esprit de la nature qui s’est manifesté là avait une intention tout à fait bienveillante, pour nous apporter une preuve de sa présence, même s’il nous est toujours resté invisible.

De telles anecdotes ne sont pas rares, ce qui est rare est sans doute d’être suffisamment attentif pour en prendre conscience, et surtout de les partager par écrit. Mais des disparitions temporaires d’objets (de clés par exemple) ont été observées par de nombreuses personnes. Il est important d’y être attentif et de les analyser sans se laisser enfermer dans des croyances limitantes mais avec un esprit ouvert, car c’est le monde invisible qui s’adresse alors aux personnes concernées, pour les aider s’éveiller aux réalités de ce monde.

(1): Les mystères du col de Vence« , de Pierre Beake et l’association Col de Vence.com (Ed. Le temps présent)

(2): « OVNIs, crop circles & MIDIM » de Daniel Harran (Ed. EccE)