Il arrive parfois que des caméras de surveillance installées dans des habitations révèlent des présences mystérieuses. Un cas de ce type a été étudié dans l’article de décembre 2016, intitulé « Présences de nuit dans les maisons : des MIDIM », où des présences avaient été observées à l’intérieur d’une maison, attribuées à une âme humaine errante. Dans le présent article, c’est à l’extérieur d’une maison qu’une présence a été détectée, révélée par le déplacement et le changement de forme d’un objet lumineux.

La caméra est sensible au rayonnement infrarouge, et déclenche automatiquement des photos – en noir et blanc – toutes les secondes, dès qu’elle détecte un mouvement. Une série d’une trentaine de photos a ainsi été prise, une nuit vers deux heures du matin, sans flash. Sur chacune de ces photos, on voit un objet lumineux se déplacer en changeant de forme, l’environnement étant formé d’un balcon au premier plan, avec deux voitures garées et une haie qui sépare le jardin de la rue.

Une analyse semblable à celle de l’article de décembre 2016 peut être menée, mais ne conduira pas à la même conclusion.

  • L’objet détecté n’est pas un objet matériel (au sens ordinaire du mot) puisqu’il n’a pas de forme définie. Ce ne peut pas être une feuille qui voltige par exemple, d’autant plus qu’il est entré dans le champ de la caméra par le haut, et est également ressorti par le haut, alors que rien ne montre qu’il y avait du vent (le feuillage ne bouge pas). Les formes sont aussi très différentes de celles d’un papillon de nuit.
  • Cet « objet immatériel » est pourtant animé puisqu’il se déplace et change de forme.

Le comportement de cet objet n’est pas cohérent dans notre monde matériel. Il n’appartient donc pas à notre monde matériel, et semble relever d’un monde parallèle. On peut alors le considérer comme une entité qui se trouve dans le monde élémentaire, ce monde intermédiaire entre le monde éthérique et le monde matériel. En effet, selon les connaissances spirituelles, seuls les êtres qui se trouvent dans le monde élémentaire peuvent se manifester dans la matière, ici sur des photographies, par l’émission d’un rayonnement infrarouge.

Ce monde élémentaire est occupé par les êtres élémentaux – les êtres de la nature – mais aussi par les âmes humaines qualifiées d’âmes errantes, celles qui sont restées accrochées au monde matériel après la mort de leur corps physique. Ces âmes n’ont pas compris que leur corps physique était mort et qu’elles avaient un chemin à parcourir dans le plan astral puis dans le monde spirituel. Elles restent alors attachées au lieu dans lequel elles se trouvaient « de leur vivant » et peuvent errer dans ce lieu pendant longtemps. Ces âmes errantes peuvent être perçues comme des fantômes. Certaines personnes (les passeurs d’âmes) savent les aider à se libérer de leur attachement au monde physique afin qu’elles poursuivent leur chemin dans le monde astral.

La question qui se pose au vu de ces photos est de savoir si cette entité est un être élémental ou bien une âme humaine errante. Dans cette dernière hypothèse, cette âme ne se manifesterait pas seulement une seule fois (par cette série de photos) mais de façon récurrente par des lueurs et/ou des bruits, comme dans le cas rapporté dans l’article de décembre 2016. Or c’est la première fois dans le cas présent que le propriétaire de la maison observait ce phénomène, la caméra étant installée depuis un an. D’autre part et bien que cette maison ait été occupée par ses grands-parents puis par ses parents avant qu’il l’habite lui-même, le propriétaire actuel n’a jamais observé d’autre phénomène paranormal chez lui, ni à l’extérieur ni à l’intérieur de sa maison.

Il est donc probable que cette manifestation était celle d’un être élémental. On sait que ces êtres n’ont pas de forme propre et peuvent prendre la forme qui leur plait. Ces photographies représentent alors une forme de manifestation interdimensionnelle (une MIDIM). La question de la raison de cette manifestation peut se poser, mais nous pouvons seulement constater qu’une entité était là, présente dans un monde parallèle proche de notre monde matériel.

Merci à Bruno pour le partage de ces photographies, très instructives.