George Leonard, dans son livre « Ils n’étaient pas seuls sur la Lune – le dossier secret de la NASA »(1), déclare avoir étudié, scruté des milliers de photographies de la NASA parmi les meilleures, d’excellente qualité, dont certaines révèlent des « choses fantastiques ». A partir de ses observations, il a noté les anomalies les plus évidentes et les exemples les plus convaincants d’activités technologiques, qui prouvent la présence d’êtres intelligents sur la Lune.

Résultat des examens de photos

Sur deux photographies prises au même endroit à environ deux jours d’intervalle, dans la région du cratère de King, il a eu la surprise de voir une sorte de geyser sur l’une, puissant et impressionnant, et pas sur l’autre. Ce geyser jaillissait d’un petit cratère et retombait loin au-delà des bords du cratère. C’était déjà la preuve d’une activité importante, non naturelle. Mais ce n’est pas tout. Sur la première de ces photos, prise donc deux jours avant l’autre, le geyser n’apparaissait pas mais l’examen attentif lui permit de découvrir l’image d’un monstre mécanique, tel qu’il en avait vu de nombreuses fois sur d’autres photographies. Cet engin était situé sur le versant intérieur du cratère, précisément à l’endroit d’où allait jaillir le geyser deux jours plus tard.

A partir de cette observation et des multiples observations des monstres mécaniques qu’il faites par ailleurs, George Leonard a pu associer ces engins à des travaux de génie civil, des travaux de nivellement, avec éjection et pulvérisation de matériaux. Pour être détectés sur les photographies, l’auteur a calculé que ces engins, qui sont en forme d’X sont quarante fois plus gros que tout ce qui peut être conçu sur Terre. A ce propos, rappelons que la gravité est six fois plus faible sur la Lune, que sur Terre, le poids des objets est donc six fois plus faible.

L’une des configurations les plus extraordinaires que l’on peut voir sur la Lune est celle de tours étroites se dressant à des hauteurs de 1000 à 1500 mètres. Ces tours sont toujours droites, verticales et, c’est le plus remarquable, quand elles sont édifiées sur une arête de cratère ou un massif montagneux, elles se trouvent toujours au point le plus élevé. Le scientifique Farouk El Baz, qui a formé le groupe des astronautes en géologie et faisait partie du comité d’étude des missions lunaires à l’époque du programme Apollo, a confirmé cette découverte quand il a déclaré lui-même : « Il existe sur la Lune des tours plus élevées que la plus haute des constructions terrestres. » Leurs ombres sont projetées sur plusieurs kilomètres. Mais aucun vaisseau lunaire n’a aluni à proximité pour en prendre des photos. Un certain nombre de constructions en formes de dôme ont été également découvertes sur des plateformes.

Les preuves de la présence d’objets mobiles et de diverses constructions à la surface de la Lune sont donc abondantes et convaincantes, selon George Leonard. Il y a aussi les éclairs de lumière, les nuages de gaz, connus depuis longtemps : nous savons maintenant de façon certaine que la Lune est occupée, elle est habitée. La question qui vient alors nécessairement à notre esprit est : qu’ont vu les astronautes qui ont marché sur la Lune ?

Témoignages des astronautes 

            Les enregistrements des conversations des astronautes montrent qu’ils n’ont cessé de manifester surprise et admiration devant le spectacle qu’ils découvraient sur la Lune. Mais ces parties de leurs conversations ont été supprimées dans les enregistrements officiels. Neil Armstrong et Buzz Aldrin ont été les premiers astronautes à poser le pied sur le sol lunaire. C’était le 20 juillet 1969 dans le cadre de la mission Apollo 11, dans la mer de la Tranquillité.

Une information a abondamment circulé à cette époque, qui ne provenait pas des circuits officiels et avait été captée par des radioastronomes amateurs. Selon ceux-ci, les premières paroles de Neil Armstrong après l’alunissage du module lunaire et les premiers instants de surprise, auraient été pour annoncer qu’ils étaient observés, car de grands vaisseaux étaient alignés, face à eux, menaçants … ! Les astronautes, comme tous les gens de la NASA, sont tenus par l’obligation de secret qui leur a été imposée.

En 1972, lors de la dernière mission Apollo (Apollo 17),  Le Dr. Farouk El Baz a mentionné l’observation faite par les astronautes. Au cours de la première révolution autour de la Lune, Harrison Schmitt avait vu un brillant éclair qui l’avait presque aveuglé. L’éclair provenait de l’endroit même, au nord du cratère Grimaldi, où l’équipage d’Apollo 16 avait signalé le même phénomène. Schmitt avait reconnu qu’il y avait d’autres choses sur la Lune : des dômes, des formes étranges, des constructions. Le lendemain, pendant la 14ème révolution, son co-équipier Ron Evans signala un éclair aussi brillant émanant du bord de la mer Orientale et en fit des commentaires tout aussi admiratifs. A ce sujet, le Dr. Farouk El Baz avait déclaré : « Il y a une chose que je ne peux pas comprendre ni expliquer, c’est l’apparition de ces énormes éclairs lumineux. A mon avis, le doute n’est pas permis, ces phénomènes ne peuvent pas être naturels. »

Ces découvertes rapportées par George Leonard ont été confirmées aussi par le chercheur Steven Greer (2). Celui-ci a rapporté que les photographies de la Lune prises par la sonde Lunar Orbiter (avant les atterrissages des fusées Apollo) montraient des détails de structures artificielles. Il précisait aussi que l’on avait découvert une base sur la face cachée de la Lune ; il y avait de très grandes tours, des constructions qui ressemblaient quelque peu à des coupoles de grandes tailles.

Tous ces témoignages – très peu connus – convergent pour montrer qu’il y a effectivement de la vie sur la Lune, même dans le plan matériel. Les astronautes n’ont pas du tout découvert un astre mort et inhabité tel qu’on le décrit habituellement, bien au contraire, malgré une surface désertique et inhospitalière. Ces découvertes ont évidemment une portée philosophique et spirituelle immense. Mais la chape de secret est encore très lourde.

(1)  George LEONARD, Ils n’étaient pas seuls sur la Lune – le dossier secret de la NASA – Ed Ecopolia (livre censuré pendant 40 ans, disponible uniquement sur le site Ecoute la Terre)

(2) Steven GREER – Révélations Tome 2 – Ed.  Nouvelle Terre