Au mois de mai 2012, Sandrine construisait un appareil d’émission-réception d’ondes de formes, basé sur les travaux de l’hermétiste Enel et le motif géométrique ci-dessous. Celui-ci est constitué ainsi :

  • un triangle équilatéral, inscrit à l’intérieur d’un cercle de diamètre 16,2 centimètres,
  • un cercle extérieur, concentrique, de 25,2 centimètres de diamètre,
  • et deux petits cercles placés entre les deux cercles concentriques, à deux sommets du triangle.

Tous les jours à partir du 9 mai 2012 et pendant deux semaines (soit jusqu’au 23 mai environ), Sandrine s’entrainait et se concentrait pour recevoir d’abord, puis pour émettre des pensées dans l’esprit du bien, du bon et du juste, avec application et persévérance. Sandrine envoyait ses pensées dans la direction de l’est, à partir de son domicile, la ville de Chartres.

Schéma de l’appareil d’émission-réception d’ondes de formes utilisé en mai 2012

Or, quelques jours plus tard, en début juin 2012, un agroglyphe (crop circle) a été découvert dans un champ de blé de la petite commune de Chécy, près d’Orléans. Quelle ne fut pas la surprise de Sandrine quand elle s’aperçut que le motif de l’agroglyphe était quasiment le même que celui qu’elle avait dessiné pour émettre ses ondes de forme : dans les deux cas il y avait un triangle équilatéral inscrit dans un cercle intérieur, et un cercle extérieur concentrique, les diamètres étant dans la même proportion dans les deux cas.

Il y a cependant deux différences :

– le motif de l’agroglyphe est composé de trois petits cercles au lieu de deux,

– ces petits cercles sont centrés aux sommets du triangle et non pas placés entre les deux grands cercles.

Mais plusieurs observations renforcent l’idée qu’il y a effectivement un lien étroit entre ces deux évènements.

  • D’après la presse régionale qui a signalé cet agroglyphe à l’époque, il a été découvert par un pilote d’ULM qui passait par là et a pris une photo (photo unique). L’article de presse, daté du 26 juin, précise qu’une plainte a été déposée à la gendarmerie le 6 juin (on peut supposer que, par ignorance de l’origine réelle de l’agroglyphe, le propriétaire du champ s’est plaint que des individus s’étaient introduits dans sa propriété privée et avait abimé une partie de son champ de blé). Le paysan a donc découvert l’agroglyphe avant le 6 juin, et l’on peut estimer que sa découverte s’est faite aux alentours du 4 juin. Mais le crop circle étant réalisé dans une région de plaine, il n’était pas facilement visible depuis le sol et il est possible que sa réalisation ait été encore bien antérieure, à une date qui se rapprocherait de la période d’émission de Sandrine. On peut ainsi affirmer que, même si les dates ne sont pas connues avec précision, il y a une bonne concordance entre les deux évènements.
  • De plus, si l’appareil de Sandrine à une direction privilégiée (l’axe de symétrie de la figure géométrique), qui correspond à la direction d’émission, l’agroglyphe possède quant à lui trois axes de symétrie. Il est logique d’envisager l’idée que ce motif soit lui aussi un émetteur d’ondes de formes, et que ces axes de symétrie soient aussi des directions d’émission. Or il se trouve que l’un de ces axes est orienté vers le nord-ouest … cette direction étant grosso modo la direction qui relie Orléans à Chartres, Chartres étant le lieu d’émission de Sandrine ! Il y a là une nouvelle coïncidence.

 

On peut voir ainsi plusieurs coïncidences entre l’émission d’ondes de la part de Sandrine et la réalisation de cet agroglyphe :

  • une analogie frappante entre les motifs,
  • une très bonne corrélation entre les dates,
  • le fait que l’agroglyphe soit orienté vers le lieu d’émission de Sandrine.

Ces coïncidences ne peuvent pas être le résultat du hasard. Elles signifient qu’il y a eu réellement une relation de cause à effet entre l’émission de Sandrine à partir de son émetteur d’ondes de formes, et la réalisation de l’agroglyphe à Chécy près d’Orléans. Cela implique que les auteurs de l’agroglyphe, qui sont des élémentaux selon l’interprétation développée dans l’étude de Daniel Harran, ont perçu l’émission de Sandrine, ont perçu ses pensées liées aux grandes valeurs universelles que sont la beauté, la bonté et la vérité, et ont voulu lui répondre … à leur façon. Et par cette réponse, ils manifestent non seulement leur présence sur les lieux, mais aussi le fait qu’ils perçoivent les actions des hommes.

Deux questions se posent alors après cette analyse :

  • Pourquoi ce délai de six ans entre les évènements en 2012 et aujourd’hui (juillet 2018, date de rédaction de cet article), c’est à dire pourquoi ce délai de six ans pour proposer une interprétation du motif dessiné en 2012 ? La réponse est simple : c’est en juin 2018 que Sandrine a eu connaissance de l’interprétation des agroglyphes proposée par Daniel Harran, et l’a contacté pour partager avec lui son expérience.
  • Pourquoi la distance de 70 kilomètres entre le lieu d’émission de Sandrine (Chartres) et la réponse des élémentaux (Chécy, près d’Orléans) ? Autrement dit, pourquoi le choix de ce lieu pour matérialiser cet agroglyphe lié aux pensées de Sandrine ? Cette question est à ce jour sans réponse.

Remarque : Si la réponse des élémentaux semblait être bien dirigée vers Chartres, par contre, l’émission de Sandrine était censée être dirigée vers l’Est et non pas vers Orléans. Mais nous savons que les élémentaux vivent dans un autre espace-temps que les hommes, et les notions d’espace n’ont donc pas les mêmes valeurs.

Merci à Sandrine Berger de Chartres pour le partage de son expérience et de ces informations très enrichissantes. Cette expérience montre en effet qu’il peut exister une véritable interaction entre les élémentaux et les hommes, dont ceux-ci n’ont généralement pas conscience. Quelques autres cas où un agroglyphe a été réalisé en réponse à une pensée ou une intention posée par des hommes ont déjà été observés (1).

(1)  Daniel Harran – « Crop circles – les clés du mystère » p 48-49.