Un orbe en losange

Les photographies d’orbes se présentent le plus souvent comme des disques blancs superposés au sujet photographié. Parfois, ils sont translucides ou bien colorés. Mais dans certains cas, leur forme peut être différente. C’est le cas pour l’orbe apparu sur la photographie ci-dessus. La construction en pierres est une ancienne fontaine bretonne. La photographie est évidemment garantie sans trucage.

  • La première observation est que cet orbe ne peut pas être le résultat d’une réflexion parasite du soleil dans l’objectif photographique puisqu’on voit une zone au sol, éclairée directement par le soleil, qui montre que l’appareil photo n’était pas du tout dirigé vers le soleil. De plus, d’autres photos prises quelques secondes avant ou après n’ont pas montré d’orbe.
  • La deuxième observation est que cet orbe a une forme très inhabituelle, une forme de losange qui n’est pas naturelle. Il arrive parfois qu’un orbe dont la forme est hexagonale fasse penser à un effet de l’obturateur de l’appareil photo, mais cette explication n’est pas valable pour une forme en losange.  De plus la forme et l’orientation de ce losange font inévitablement penser à la forme de la fontaine en pierre ! La forme de cet orbe n’étant pas naturelle, son origine est donc … surnaturelle. Est-ce qu’un être facétieux se serait manifesté à travers cet orbe ?

Photo Laurence

  • Mais regardons attentivement l’agrandissement de cet orbe, sur la photo ci-dessus. On peut découvrir alors ce qui fait penser à une esquisse de visage triangulaire dans le coin inférieur du losange, comme si l’esprit facétieux qui a manifesté cet orbe avait poussé la malice jusqu’à se représenter …

Certains pourront voir là une paréidolie, c’est-à-dire une illusion d’optique, mais il n’en reste pas moins que la forme du losange, associée à la forme de la fontaine, évoque irrésistiblement une origine intelligente non-humaine, une manifestation d’un être facétieux. Ces caractéristiques sont celles d’un être élémental (voir l’article « Sur la nature des orbes » et les livres de Daniel Harran) . Cet orbe est donc une manifestation interdimensionnelle (MIDIM).

A noter qu’un livre a été écrit sur la « sociologie des orbes », dans lequel l’auteur, Sylvie Joubert, a rapporté un bon nombre d’orbes à l’intérieur desquels on peut voir des esquisses de visages (1).

Des « épaulettes » surajoutées !

La photographie ci-dessous a été prise sans flash, et fait apparaitre pourtant un grand nombre d’orbes. Ceci est dû au fait qu’une source importante de lumière vient de la porte à l’étage, qui est face à l’objectif photographique. Cette disposition en contrejour permet que la lumière diffractée par des particules présentes dans l’air puisse pénétrer dans l’objectif photographique avec une grande intensité. Mais quelle est la nature de ces particules qui ont causé la diffraction optique ?

Photo Martine

  • Il est possible que ces particules soient simplement des grains de poussière en suspension dans l’air car la scène se passe dans une chapelle en ruine, et l’on peut imaginer facilement que le déplacement de plusieurs personnes ait soulevé des poussières accumulées au sol.
  • Mais l’originalité de cette photographie consiste en ces deux espèces d’ « épaulettes blanches » très nettes qui ont été placées sur l’image de la personne photographiée, bien symétriques et quasiment à leur juste place sur les épaules ; ainsi que cette tache blanche qui simule un mouchoir en tissu qui sortirait de la poche de poitrine sur son vêtement. Ces traits et la tache blanche ne font absolument pas partie du vêtement, et ont été surajoutés sur la photo. Par qui ? La personne qui a vu ainsi son portrait décoré n’a évidemment rien vu ni rien ressenti, ni avant ni après la prise de vue, pas plus que les autres personnes présentes. Une telle photographie peut paraître incroyable, elle est évidemment garantie sans trucage. Ces « décorations » ne peuvent pas être naturelles et sont une manifestation d’un esprit facétieux, elles sont nécessairement le résultat de l’action d’une intelligence invisible, surnaturelle.

  • D’autre part, la lumière avec laquelle ces « décorations » ont été dessinées est très intense, autrement plus intense que la lumière des orbes par exemple. Cette lumière  ne peut pas être le résultat d’un phénomène de réflexion, de diffusion ou de diffraction lumineuse à partir de la lumière naturelle, elle ne peut pas être d’origine naturelle. Ces « décorations » sont nécessairement le résultat d’une autre source de lumière, d’origine surnaturelle. Elles font penser à plusieurs sources de lumières qui se seraient déplacées juste pendant la fraction de seconde de la prise de vue, pour dessiner ces traits et cette tache.

Ainsi, l’existence même de ces phénomènes lumineux et leur forme très évocatrice sont nécessairement des manifestations d’une intelligence invisible, qui est franchement facétieuse et a la capacité de créer de la lumière. Ces trois caractéristiques sont celles des êtres élémentaux. Ces phénomènes sont encore des manifestations interdimensionnelles.

Comme un cordon lumineux :

La photographie ci-dessous, prise à l’aide d’un flash, est un peu similaire à la précédente. On voit parfaitement la trace laissée par le déplacement d’une source lumineuse blanche et intense, pendant la prise de vue, qui est venue s’arrêter exactement au dessus de la tête du jeune garçon photographié (ce que montre l’intensité accrue de la tache lumineuse). Dans ce cas aussi, ni le garçon ni le photographe n’avaient eu conscience de ce phénomène avant de l’avoir découvert sur la photographie.

Photo André

Ce cordon lumineux ne peut pas être naturel, il a donc une origine surnaturelle. De plus, le positionnement de la lumière exactement au-dessus de la tête du garçon révèle l’action d’une intelligence. Ce phénomène est nécessairement le résultat d’une interaction entre une intelligence invisible et les personnes présentes, dont celles-ci n’avaient aucunement conscience. Cette intelligence a donc la capacité de créer de la lumière pour manifester ce cordon lumineux de façon synchrone avec la prise de vue, et de la déplacer à très grande vitesse pendant la fraction de seconde de cette prise de vue. Malgré l’intensité de cette lumière, on peut comprendre qu’elle n’a pas été vue par les personnes présentes parce que celles-ci étaient éblouies par la lumière du flash. La seule explication rationnelle de ce phénomène est qu’il s’agit, là encore, d’une manifestation d’un être élémental. Ce type de phénomène lumineux est peu courant mais a été observé en diverses circonstances.

(1): Le monde de Peter – Éveil à la sociologie des orbes, par Sylvie Joubert (Ed. Le temps présent)