Le phénomène des crop circles est de nos jours encore très peu connu. Et la croyance est souvent répandue que ces dessins sont réalisés par l’homme. Il est vrai que cette interprétation est plus facile à admettre pour tous ceux qui se prétendent rationnels et sont des inconditionnels de la science.

Or il est un fait méconnu : plusieurs dizaines de personnes ont assisté en direct à la réalisation d’un agroglyphe devant elles, alors qu’elles se promenaient, sans attente, dans la campagne. Leurs témoignages convergent pour dire que les dessins ont été formés en quelques secondes (quelles que soient leurs dimensions et leur complexité), sans cause visible, comme si un gigantesque tampon invisible avait imprimé le dessin au sol. Ces témoignages, provenant de personnes différentes, d’époques différentes et de lieux différents (même si la majorité viennent du Wiltshire en Angleterre) sont des preuves de l’origine non-humaine des agroglyphes, mais il en existe bien d’autres.

De plus, l’harmonie qui se dégage de ces dessins, les connaissances qui y sont parfois contenues, montrent clairement que des intelligences sont là à l’œuvre. Ces observations simples montrent que les agroglyphes sont réalisés dans notre monde matériel par des êtres intelligents et invisibles, qui sont donc présents dans une autre dimension. Les agroglyphes sont des manifestations interdimensionnelles.

Ce nombre de plusieurs dizaines a été donné par Colin Andrews, pionnier parmi les chercheurs dans ce domaine, qui habite la région du Wiltshire en Angleterre, dans son livre « Crop circles – signes et contacts » qui date de 2007. Il est permis de penser que ce nombre a augmenté depuis.

Plusieurs de ces témoignages ont été cités dans les livres de Lucy Pringle et Andreas Muller. Ils ont été rapportés dans le livre « Crop circles – les clés du mystère » de Daniel Harran (p 41-42).