Marguerite, qui m’a transmis la photographie ci-dessous, est une personne qui a toujours vécu au contact de la terre. Quand elle habitait un petit village à la campagne, elle prenait soin tous les jours de son jardin potager. Son voisin s’est étonné plusieurs fois que ses propres légumes étaient malades alors que ceux de Marguerite étaient toujours sains… Il est vrai que Marguerite s’adressait régulièrement et en conscience aux élémentaux du lieu et leur demandait leur concours, mais le voisin ne le savait pas.

Un jour elle a décidé de prendre en photo, avec un petit appareil automatique, les belles fleurs que l’un de ses fils avait plantées autour de sa maison, pour lui envoyer car il habitait loin. Or son appareil a présenté à ce moment-là une petite défaillance technique et a refusé de fonctionner. Elle a insisté en appuyant sur le déclencheur et après un moment tout est rentré dans l’ordre et elle a pu prendre les photos comme elle le voulait. C’est au développement de la pellicule (les photos étaient encore argentiques à cette époque, en 1982) qu’elle s’est rendu compte qu’il y avait une photo en plus de celles des fleurs, une curieuse photo de sa voiture … comme si plusieurs personnages étaient assis à l’intérieur aux places des passagers ! C’est la photo ci-dessus.

Plusieurs choses attirent l’attention à l’examen de cette photographie :

  • D’une part les accoutrements bizarres de ces personnages, qui semblent être déguisés et habillés à l’ancienne. L’un devant porte une perruque, un autre à l’arrière est affublé d’un curieux chapeau. A côté de lui sur le siège arrière, l’image est moins nette mais on peut distinguer trois autres têtes. Les plus petites tailles de ces personnages pourraient faire penser à trois enfants qui accompagnent leurs parents, mais le grossissement de l’image révèle que l’une de ces personnes semblerait porter une moustache et une autre, une barbichette.
  • D’autre part, le fait que ces personnages sont d’apparence diaphane, leur corps n’est que partiellement densifié. On distingue en effet les sièges de la voiture à travers le corps du personnage qui est à l’avant. Ce sont surtout les visages qui apparaissent, comme si le reste de leurs corps était presque transparent, partiellement matérialisé. Pour les personnages de petites tailles à l’arrière, seules leurs têtes apparaissent, et pas du tout leur tronc.
  • De plus, ces visages sont assez flous, alors que la photographie est bien nette comme le montre l’image de la voiture elle-même.

Cette photographie est bien sûr garantie sans aucun trucage et parfaitement authentique. L’image ci-dessus est une copie strictement identique à l’original. Celui-ci été contrôlé par des spécialistes qui n’ont pu déceler aucune anomalie.

Commentaires :

  • Il est certain, d’après Marguerite, qu’ « il n’y avait personne dans la voiture » à ce moment-là, et qu’elle n’a pas vu ces personnages quand elle a pris la série de photographies des fleurs. Leur placement dans la voiture, sur le côté droit face à l’appareil photographique, et l’analyse objective de la photographie nous obligent à dire que ces personnages – non humains mais qui ressemblent à des humains – se sont installés sur les sièges de la voiture et se sont matérialisés (partiellement) pour la prise de vue, avec l’intention de se montrer à Marguerite sur cette image.
  • Des personnages partiellement matérialisés, vêtus à l’ancienne : cela fait nécessairement penser à des élémentaux, d’autant plus que les conditions mystérieuses de la prise de vue, provoquée apparemment à l’occasion du dysfonctionnement de l’appareil, font aussi penser à une plaisanterie ou un stratagème dont les élémentaux sont friands. C’’est eux qui, selon toute vraisemblance, ont provoqué ce dysfonctionnement afin que Marguerite les prenne en photo dans la voiture en insistant sur le déclencheur.
  • C’est bien la seule interprétation rationnelle qui puisse être proposée : des élémentaux, qui se présentent en groupe (peut-être une famille ?), se sont partiellement matérialisés sur les sièges de la voiture de Marguerite, et se sont arrangés pour être photographiés par elle pour lui témoigner leur présence dans son environnement. Cette décision de se montrer ainsi à elle est tout à fait exceptionnelle. Elle semble être nécessairement liée à la familiarité qui s’était installée de longue date entre Marguerite et ces êtres de la nature, grâce à son activité de jardinage. Cette familiarité s’était également concrétisée d’une autre manière, par l’écriture d’un livre de contes sur le thème des élémentaux.
  • On remarque que les personnages sont de petite taille (la voiture, de marque Renault 4 L, nous donne une échelle), de la taille d’enfants humains, comme souvent rapporté dans les récits traditionnels. Et le fait qu’ils soient habillés à l’ancienne est aussi une caractéristique des élémentaux d’après les récits traditionnels.
  • Les personnages sont apparus sur la photographie, alors qu’il n’ont pas été vus directement : c’est comme cela que ça se passe aussi avec une certaine catégorie d’orbes.

Une sorte de confirmation :              Cette photographie constitue une sorte de confirmation d’un certain nombre de connaissances rapportées dans les livres et le site web de Daniel Harran :

  • des êtres de forme humaine, formés d’un corps subtil et de petite taille, existent réellement dans l’environnement des hommes (on les appelle des êtres de la nature ou des élémentaux) ;
  • ils peuvent se densifier ou se matérialiser, quand ils veulent se montrer aux humains par exemple ; mais ceci est exceptionnel et ils nous sont habituellement invisibles. Cette matérialisation peut être partielle, comme pour la plupart des ovnis ;
  • le fait qu’ils soient entrés puis ensuite sortis de la voiture sans l’ouvrir et sans bruit (selon toute vraisemblance), ainsi que leur matérialisation partielle, montrent qu’ils vivent dans une autre dimension que les humains, qui n’a pas d’interaction mécanique avec notre monde matériel dense ;
  • leur mode de vie est calqué sur celui des humains : ils se montrent souvent, vêtus d’habits semblables à nos vêtements anciens ;
  • ils sont bienveillants envers les humains qui eux-mêmes leur portent attention et les respectent ;
  • ils sont intervenus ici matériellement sur l’appareil photographique : il est à noter qu’il y a eu une seule photo de ce type, qui était parfaitement dirigée et centrée sur le sujet choisi.
  • le fait qu’ils soient apparus sur la photo sans avoir été vus, comme pour les orbes, tend à confirmer que les orbes sont aussi des manifestations d’êtres élémentaux.