En cette époque exceptionnelle que traverse l’humanité, liée à la gestion des effets du virus Covid-19, nous sommes quotidiennement les cibles d’informations contradictoires et il nous faut, plus que jamais, exercer notre discernement. Les conditions sont ainsi propices pour réfléchir, posément, sur le monde dans lequel nous vivons. C’est le moment de nous poser des questions sur quelques sujets dont on ne parle jamais, mais qui sont essentiels pour l’évolution de l’humanité.

Cet article est le premier d’une série où seront abordés quelques-uns de ces sujets. Nécessairement, ils sont l’objet de grandes controverses puisque c’est le propre des sujets marqués par le secret et la désinformation. A travers les révélations qui seront apportées, notre objectif, en tant que chercheur de vérité, n’est pas de convaincre mais d’approcher un peu la réalité de notre monde. Il reviendra à chacun de se faire sa propre idée sur ces questions.

Le thème abordé dans cet article est en général complètement ignoré ou considéré comme un mythe et associé aux théories du complot. Notre avis est que, en accolant ainsi l’étiquette « théorie du complot » à ce genre de sujet, ce peut être une façon très efficace pour discréditer et dénigrer certaines informations essentielles, pour les garder secrètes. Nous pensons que la méfiance est de mise devant ce type de procédé. Et si la réalité de notre monde était différente de celle que l’on nous enseigne ?

L’importance du sujet de cet article peut paraitre accessoire au premier abord, elle se révèlera plus tard, quand un certain nombre d’autres révélations auront été rassemblées.

Récit :
Le récit ci-dessous a été reçu personnellement par l’auteur de cet article. Le 24 avril 2008, alors que je donnais une conférence à Mulhouse sur le thème des agroglyphes (ou crop circles), un auditeur a tenu à me faire part personnellement (et en aparté) du témoignage d’un ami qu’il connaissait bien, qui était âgé et n’était pas là. Cet homme, né en 1927, se souvenait que, au début des années 1930, les relations de part et d’autre de la frontière entre l’Alsace et l’Allemagne étaient bonnes, et tous les ans avait lieu un rassemblement, tantôt en Alsace, tantôt dans la Forêt Noire.

Il se souvenait qu’en 1934 (il avait donc 7 ans), lors d’un tel rassemblement qui avait eu lieu du côté allemand, un évènement spectaculaire s’était produit quand un « nouvel avion » (on ne savait comment désigner cet engin à l’époque) s’était approché de l’assistance par les airs. Il avait la forme d’un disque volant et s’était posé, simplement et sans bruit au milieu d’eux. Une coupelle s’était alors ouverte sur cet engin, et une ravissante femme en était sortie, vêtue d’une combinaison moulante. Puis un homme était sorti, vêtu du même type de combinaison. Après un certain temps passé parmi l’assistance, tous deux étaient rentrés dans leur « nouvel avion », qui était reparti sans bruit en s’élevant dans les airs.

Ce témoignage, que j’ai conservé par écrit avec précaution, mais dont je ne savais que faire à l’époque, semble prouver que les Allemands possédaient la technologie des vaisseaux spatiaux (ou des soucoupes volantes), déjà avant la deuxième guerre mondiale, même si ce type d’informations est resté complètement ignoré par la suite et jusqu’à aujourd’hui. Je ne vois aucune raison de mettre en doute la sincérité du témoignage puisqu’il était inexploitable à l’époque où il m’a été confié, personne ne connaissant ce programme spatial allemand. En tout cas, personne n’en parlait. De nos jours, d’autres témoignages similaires existent.

D’autre part, le fait que l’un des pilotes de l’appareil soit décrit comme une femme, et plus précisément une ravissante femme amène à faire le lien avec Maria Orsic, fondatrice de la société secrète du Vril en 1919, qui était justement une très belle femme. Quelques photos d’elle existent.

Maria Orsic

Maria Orsic est connue pour avoir canalisé, en tant que médium, des messages contenant des informations techniques qui se sont avérées suffisamment précises pour permettre la construction des premiers prototypes de vaisseaux spatiaux, grâce aux compétences de Winfried Otto Schumann, alors directeur du laboratoire d’électrophysique à l’université technique de Munich. Maria Orsic a été, depuis le début et pendant une trentaine d’années le pilier principal du programme spatial civil du Vril, ce que le jeune garçon à l’origine de ce récit ne pouvait pas savoir. C’est pour cette raison que l’allusion au fait qu’une ravissante femme était sortie la première du « nouvel avion » peut être considéré comme un élément de preuve de l’authenticité de ce récit. De plus, l’année 1934 est effectivement l’année où, d’après d’autres sources, les premiers vols de vaisseaux ont été réussis. 

Remarquons que, selon le récit, le « nouvel avion » est arrivé et reparti sans bruit. Il a été décrit comme ayant la forme d’un disque et s’est posé au milieu de l’assistance. Il n’avait pas besoin de piste d’atterrissage ou de décollage. Il était donc propulsé par une nouvelle technologie, inconnue dans le monde scientifique. C’était donc bien ce que nous appelons aujourd’hui une soucoupe volante, un vaisseau spatial ou un ovni

Cette démonstration publique est exceptionnelle et peut-être unique (en tous cas la seule connue, mais très peu connue). Elle peut s’expliquer par le fait que c’était, en 1934, les premiers essais réussis d’un programme spatial civil.