Les orbes sont ces taches lumineuses découvertes parfois sur des photographies, superposées aux images, alors qu’elles n’ont pas été vues à l’œil nu au moment de la prise de vue. Leur forme est le plus souvent circulaire, leur couleur blanche mais parfois colorée. Certains des orbes (mot masculin) sont d’une grande intensité lumineuse, alors que d’autres sont de moindre brillance, plus ou moins translucides et font apparaître une structuration interne. Les orbes sont le plus souvent observés sur des photos prises au flash, mais ils peuvent exister aussi sur des photos prises en lumière naturelle, plutôt en contrejour.                                                                                                                                          Exemple d’orbe avec structuration interne – Photo Riccardo

Le nombre des orbes a beaucoup augmenté depuis une vingtaine d’années, mais ils étaient déjà observés avec les appareils à pellicules argentiques. Ils ne peuvent pas être expliqués par des défauts des appareils.

L’explication scientifique des orbes :

Il est bien admis que les orbes sont provoqués par le phénomène de diffraction optique qui se produit quand un faisceau lumineux (émis par le flash par exemple) tombe sur de fines particules de poussière présentes devant l’objectif photographique, en suspension dans l’air. Ce n’est que dans le cas où la lumière est interceptée par des objets de très petites tailles (ici les particules de poussière) que le phénomène de diffraction aura un effet visible. La structuration interne évoquée ci-dessus est typique du phénomène de diffraction dans des conditions très défocalisées, la mise au point de l’appareil n’étant pas faite sur les particules de poussière, qui sont en général très proches de l’appareil.

Des photographies prises dans une atmosphère poussiéreuse révèlent en effet une grande quantité d’orbes quand les conditions d’éclairage sont convenables. C’est le cas de la photographie ci-dessous, prise sur un chantier de rénovation d’une maison.

                                                                                                                                Orbes observés dans une atmosphère poussiéreuse – Photo André

  • On se rend compte que les orbes sont particulièrement nombreux et brillants sur cette photographie. Cela est dû au fait que la lumière du flash a été réfléchie sur la vitre d’une fenêtre placée en face, avant d’être diffractée par les particules de poussière et de pénétrer dans l’appareil photo. En effet, selon les lois de la diffraction, la lumière du flash réfléchie par la vitre, puis diffractée et reçue par l’objectif est plus intense que la lumière du flash envoyée directement sur les particules de poussière, puis diffractée et renvoyée en arrière vers l’appareil.
  • On constate aussi que la dimension, la brillance et la structuration interne sont variables, étant liées aux positionnements et aux tailles de ces poussières.
  • On remarque enfin que tous ces orbes sont de couleur blanche. Parmi le grand nombre de ces orbes, aucun n’est coloré.

Cette interprétation permet de comprendre que les orbes ne peuvent pas être vus à l’œil nu, ni avant ni après la prise de vue puisqu’ils n’existent qu’au moment de l’activation du flash, le phénomène de diffraction optique étant provoqué par l’interaction de la lumière sur les poussières. Les orbes ne peuvent pas non plus être vus au moment de la prise de vue car l’œil est obligatoirement ébloui par l’intensité du flash, réfléchi ou diffusé par le sujet photographié.

Pour les scientifiques, les orbes sont donc un phénomène purement optique, et s’expliquent comme le résultat d’une interaction physique entre la lumière (du flash) et la matière (fines particules de poussières en suspension dans l’air).

Les orbes, phénomène paranormal :

Trois caractéristiques des orbes, cependant, couramment observées, ne peuvent pas être expliquées par cette théorie scientifique.

  • La question se pose quand on se rend compte que l’on peut obtenir des orbes, même quand il n’y a pas de poussière dans l’air. C’est le cas par exemple quand, en extérieur, l’atmosphère a été lavée par la pluie (c’est le cas pour la première photographie de cet article). On s’aperçoit que, dans ces conditions, le nombre d’orbes sur une même photo peut être non pas diminué mais très fortement augmenté, ces taches blanches circulaires et translucides présentant tout à fait la même apparence que dans une atmosphère poussiéreuse, avec aussi parfois la même structuration intérieure. Nous sommes donc là toujours en présence du phénomène de diffraction optique puisque l’apparence est la même, mais celui-ci n’a pas d’explication rationnelle puisqu’il n’y a pas de particules matérielles qui puissent provoquer un si grand nombre d’orbes.
  • De plus, la théorie scientifique ne peut pas expliquer la diversité des couleurs qui sont parfois observées : jaune, bleu, pourpre etc. Elle est donc impuissante à rendre compte de toutes les observations d’orbes.                                                                                                                                      Orbes colorés par temps de pluie – Photo Riccardo
  • Autre élément significatif : l’expérience a montré qu’une condition propice à l’apparition et à l’augmentation du nombre des orbes est que le photographe soit dans un état de concentration suffisant en ouvrant sa conscience aux énergies environnantes. Le fait de se recentrer intérieurement et de poser l’intention que les énergies viennent est une condition parfois suffisante pour que le phénomène apparaisse. Mais on sait aussi les orbes ne se font pas « à la demande », et beaucoup de personnes n’en ont jamais photographiés. On s’aperçoit qu’il y a là un élément causal qui n’est pas de nature physique, et ne peut pas être pris en compte dans une théorie scientifique.

 La science n’a pas de réponse, mais possède pourtant la solution !

Puisque dans les cas où il n’y a plus de poussière dans l’air, on peut obtenir des orbes qui ont la même apparence que dans les cas où les orbes sont provoqués par diffraction de la lumière sur des particules de poussière, nous devons en déduire que le phénomène de diffraction a eu lieu dans ces cas-là aussi. La question se pose alors de savoir quelle est la nature des particules qui ont provoqué la diffraction dans ces cas-là. La science n’a pas de réponse qui puisse expliquer la présence de ces orbes.

Un raisonnement simple et logique conduit à envisager l’hypothèse que le phénomène de diffraction optique serait alors provoqué par l’interaction de la lumière, non pas sur des particules matérielles mais sur des particules énergétiques, qui seraient des points de l’espace où une certaine énergie serait condensée. La théorie de la relativité d’Einstein (relation bien connue  E = m c²) nous a appris en effet que matière et énergie sont deux formes équivalentes, la matière n’étant que de l’énergie condensée.

Ces condensations d’énergie pourraient correspondre à la présence d’êtres immatériels et donc invisibles mais doués d’une certaine énergie. On est alors naturellement amené à penser à des êtres élémentaux. L’étude des crop circles, des ovnis et des MIDIM nous a montré en effet que ceux-ci sont des êtres immatériels (invisibles) qui sont capables de se manifester par de nombreuses manières différentes et possèdent donc une énergie.

Les élémentaux existent dans un autre plan ou dans une autre dimension. On peut exprimer alors que ces orbes seraient une forme de manifestation interdimensionnelle (une MIDIM),

Conclusion :

La proposition de cette étude est donc que les orbes sont dans tous les cas créés par le phénomène de diffraction optique sous l’effet d’une lumière intense (le flash en général) qui rencontre des microparticules présentes devant l’objectif photographique. Mais ces particules peuvent être de deux natures différentes :

  • dans certains cas, ce sont des microparticules matérielles, des poussières en suspension dans l’air, qui provoquent la diffraction ;
  • dans d’autres cas la diffraction est provoquée par des « particules » énergétiques, immatérielles, des condensations d’énergie pure, liées à la présence d’êtres élémentaux. Dans ces cas-là, les orbes sont alors des manifestations interdimensionnelles (MIDIM).

Cette interprétation est cohérente avec les caractéristiques du phénomène des orbes.

– Tout d’abord, à propos du fait que le nombre d’observations d’orbes a beaucoup augmenté depuis une vingtaine d’années, on sait que ceci est dû d’abord au fait que, les appareils actuels étant munis de capteurs sensibles qui ont rendu les pellicules inutiles, le nombre de prises de vue a beaucoup augmenté. Mais on peut aussi remarquer que les manifestations des êtres de la nature se font nettement plus nombreuses et plus variées depuis quelques décennies, que ce soit à travers les crop circles, les manifestations d’ovnis et d’autres formes de MIDIM.

D’autre part, quand la diffraction est provoquée par la présence énergétique d’êtres élémentaux, on peut concevoir que ceux-ci, étant des êtres intelligents, peuvent prendre une part active dans ce processus. Ainsi :

–  A propos de la coloration de certains orbes, on peut se rappeler que les êtres élémentaux ont la capacité de se manifester dans le monde matériel en créant des formes ou des objets lumineux (boules de lumière par exemple) pour attirer l’attention des hommes. On peut alors concevoir aisément que les couleurs des orbes soient simplement créées par eux, qui chercheraient ainsi à interpeller discrètement les hommes.

– Quant au fait que les orbes apparaissent plus facilement quand le photographe se relie aux énergies environnantes, on comprend maintenant que ces énergies sont justement celles des élémentaux. Ceux-ci, se sentant reconnus, peuvent alors manifester leur présence avec plus de force, ce qui entrainera la présence d’orbes.

– Et à propos de l’observation selon laquelle les orbes semblent être multipliées par temps de pluie, on peut se rappeler que les êtres élémentaux sont aussi appelés les êtres de la nature, ce sont les forces vives de la nature, et l’on peut concevoir qu’ils se réjouissent et se manifestent avec plus de force quand la terre est abreuvée par la pluie.